Capitaine Harlock
Démocratie Participative
28 janvier 2018
Ce sale nègre est désormais en mesure d’exiger que sa vengeance s’exerce contre la police.
Vous n’aurez pas manqué d’observer que tous les nègres à l’origine d’émeutes raciales, dûment présentés en « victimes », ont un accès illimité aux plateaux de télévision depuis plus d’un an.
Systématiquement, en dépit des informations les plus accablantes au sujet des protagonistes, ils sont interrogés, interviewés, mis en scène, soutenus.
Comme si leur casier judiciaire glissait sur eux comme l’eau sur les plumes d’un canard.
LCI :
Près d’un an après avoir été victime d’un viol présumé lors d’un contrôle de police à Aulnay-sous-Bois, Théo Luhaka, 22 ans, livre un témoignage poignant au « Parisien ». Il attend son procès et une justice « exemplaire ».
C’était le 2 février 2017. Théo Luhaka dit « Théo », était grièvement blessé suite à un contrôle de police dans sa cité de la Rose-des-Vents à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Un an après, il témoigne dans les colonnes du Parisien. Lui qui rêvait d’une carrière de footballeur a toujours des séquelles. Surtout, il attend que justice soit faite.
« (J’attends) une justice ferme et exemplaire. Que les policiers prennent conscience qu’il faut un bon comportement lors des contrôles. Il y a toujours des contrôles qui se passent mal. Après c’est valable des deux côtés, je ne dis pas que c’est que la police, les jeunes ont aussi une responsabilité. J’espère que mon procès servira d’exemple à tout le monde », dit-il notamment au Parisien. Encore affaibli, il a déménagé dans le quartier de Balagny. « Ce n’est pas facile ni pour moi, ni pour ma famille. J’ai toujours une poche (posée par les médecins) avec des séquelles. […] le corps ne suit plus comme avant », explique-t-il encore meurtri.
S’il maintient sa version des faits concernant un « viol », Théo reste mesuré dans ses propos au Parisien. « S’agissant du judiciaire, c’est l’avocat qui s’en occupe. Je n’ai pas d’informations là-dessus. » Destiné à percer dans le football, (« cela reste un objectif pour moi », dit-il), il évoque aussi le regard des autres dans sa cité : « J’essaie de faire en sorte que quand les gens me voient, ils ne voient pas le Théo qui s’est fait violer par la police, mais le Théo normal ».
Sans pour autant éluder ses « relations » avec la police : « Les choses ont carrément changé. C’est même devenu très bizarre. Par exemple, je suis dans la rue, les policiers passent en voiture, ils me voient et font demi-tour, comme s’ils avaient vu une bête curieuse ».
Ce « miracle » médiatique a une explication.
Les juifs ont décidé d’intensifier la destruction des structures de l’état. Suffisamment pour avancer les pions qui sont leurs obligés, conscients ou non. Ces pions sont leurs éternelles troupes de choc : agitateurs marxistes, anarchistes, criminels de tous ordres, groupes raciaux irréductibles et parasitaires.
Ce sont les chiens qu’ils lâchent le temps qu’ils fassent leur office : détruire l’ordre social du pays ciblé.
Avec une régularité infaillible, les juges rouges relâchent la pire vermine. Cela n’est pas du à un « instinct humanitaire », mais à une volonté qui ne laisse aucune place au doute.
L’anarchie et la terreur vont être lâchées sur la France comme sur le reste de l’Europe, subjuguée par la finance internationale.
Quel état qui s’appartient tolérerait-il que son bras séculier soit ouvertement moqué, délégitimé, raillé et empêché ? Cette même police ne réagit d’ailleurs pour ainsi dire pas à cette entreprise de sabotage conscient.
Dépourvue de toute direction idéologique, cette même police est comme paralysée, contrainte de subir indéfiniment le supplice qui est prévue pour elle. Du moins, jusqu’à ce que la « révolution » prévue se déroule.