Leutnant
Démocratie Participative
12 février 2018
Nous avons un nouveau héros. Le militant raciste et actuel maire de Dunkerque, Patrice Vergriete, s’est levé pour défendre le droit des habitants à se foutre de singes infectés d’Ebola qui nous envahissent.
BFMTV :
Plusieurs associations dénoncent le caractère raciste du blackface, qui consiste à se grimer en noir, mais le maire de la ville défend un « droit à la caricature ».
Alors que le carnaval de Dunkerque s’est ouvert ce dimanche, une polémique est apparue autour du bal costumé de la « Nuit des Noirs » programmé le 10 mars, dénoncé par des associations antiracistes mais défendu par le maire de la ville. Dans les rues de Dunkerque, il est courant que certains « carnavaleux » se griment en noirs avec pagnes de rafia et coiffes à plumes, dans la lignée de la tradition américaine du « blackface », bannie aux Etats-Unis depuis le mouvement des droits civiques dans les années 1960. Surtout, le 10 mars est programmé dans une grande salle de la cité corsaire la 50e édition de la « Nuit des Noirs ».
Selon Louis-Georges Tin, président du Conseil représentatif des associations noires de France (Cran), le « blackface » « n’est pas seulement un acte raciste, il a partie liée avec le crime contre l’humanité. Il est l’envers grimaçant de l’esclavage, qu’il a rendu tolérable, voire tout à fait divertissant, aux yeux des peuples d’Occident ».
Dans une tribune au Monde, il a rappelé que Dunkerque avait « participé au trafic négrier », un pan de l’histoire de la cité corsaire contesté, selon lui, par certains Dunkerquois, ce qui s’apparente à une « posture négationniste favorisée par la faiblesse du travail de mémoire effectué par la ville ». S’il ne réclame pas l’annulation de « La nuit des noirs », le président du Cran propose d’en faire évoluer la thématique, « de la transformer en ‘nuit des bleus’, par exemple en évitant désormais toute référence coloniale (…) ».
De quel droit cette sale fiotte de cafrerie ose-t-elle interdire aux Français de faire quoique ce soit ?
Tin doit être immédiatement arrêté et déporté en Guyane pour y purger une peine de 30 ans de travaux forcés.
Voilà où mène l’égalitarisme avec ces races de boue : à la condescendance puis au ressentiment envers le Blanc qui les nourrit.
Heureusement, le raciste revendiqué Patrice Vergriete s’est dressé.
« Une femme devient homme et un homme porte robe et perruque, un ouvrier joue les banquiers, un athée se fait ecclésiastique, un Blanc se fait Noir, un bon bourgeois se mue en bagnard (…) Dans ce contexte, les quelques procureurs, heureusement sans beaucoup d’écho, qui, de leurs bureaux parisiens, instruisent contre notre ville un procès en racisme, sont dans le meilleur des cas à côté de la plaque et dans le pire, qui n’est pas à exclure, d’une crasse mauvaise foi », a estimé l’édile dans un texte également publié dans Le Monde et sur Twitter.
Fin décembre, une « Brigade anti-négrophobie » avait déjà condamné l’organisation de la « Nuit des Noirs ». « On ne souhaite pas qu’ils singent le Noir », avait affirmé à l’AFP Franco Lollia, porte-parole du collectif.
Les nègres singent déjà les singes assez bien.
Mais si les Blancs peuvent y apporter leur touche, c’est bienvenu.
Le maire de Dunkerque est un héros.
Quoiqu’il en soit, cette brigade de bamboulas n’ira nulle part. Si ces singes s’approchent de Dunkerque, il est certain qu’il y aura une émeute raciale et que les Blancs se mettront à chasser le nègre dans les rues de la ville.
C’est absolument certain.