NE FAITES PAS VOS BOOMERS : le Docteur Goebbels n’a jamais dit « Plus c’est gros, plus ça passe »

La rédaction
Démocratie Participative
05 novembre 2022

 

Les boomers ont détruit l’Europe, mais pas seulement.

Ils ont également ravagé les têtes avec leurs mythes gauchistes fabriqués par les juifs et les communistes.

L’une des plus énormes impostures sorties du registre des boomers est cette fausse citation de Goebbels, le plus héroïque défenseur de la vérité face aux mensonges juifs :

Encore résumé par :

Dans ces démocraties gériatriques sémitisées, le héros Joseph Goebbels, qui a consacré sa vie à la lutte contre le règne juif par le mensonge, est accusé de ce dont se rendent coupables les juifs depuis des millénaires : mentir et faire du mensonge un sacerdoce.

Les juifs et les boomers sont allés si loin, qu’ils présentent le Docteur Goebbels comme le visage même du mensonge.

Il ne pouvait se trouver que les juifs pour oser une inversion accusatoire aussi insultante pour l’intelligence des non-juifs et il ne pouvait se trouver que des boomers pour le croire, et pire, le répéter fièrement, pensant affranchir les autres avec leurs insanités.

On reconnaît un boomer à une chose très simple : dès que les juifs recourent à leurs méthodes bolcheviques, ils dénoncent le « fascisme ».

Plus les juifs attaquent par la gauche, plus le boomer sénile voit des attaques de l’extrême-droite.

C’est une règle d’or du boomer cérébralement endommagé.

Si nous voulons sortir de cette matrice du mensonge juif, il est impératif de rétablir l’honneur de ceux qui ont entrepris la lutte contre l’hydre juive en attaquant précisément la base de son pouvoir : l’art de mentir.

Ce concept de « Gros mensonge » est apparu pour la première fois de l’histoire dans Mein Kampf. Adolf Hitler expose comment le culot et l’effronterie des juifs sont à la racine de l’art du mensonge juif :

Mais il restait aux juifs, avec leur capacité illimitée à mentir, et à leurs camarades de combat, les marxistes, à imputer la responsabilité de la chute (de l’empire allemand) précisément à l’homme qui, seul, avait fait preuve d’une volonté et d’une énergie surhumaines dans son effort visant à empêcher la catastrophe qu’il avait anticipée et pour sauver la nation, en cette heure de renversement complet et de honte. En plaçant la responsabilité de la perte de la guerre mondiale sur les épaules de Ludendorff, ils ont enlevé l’arme de l’ascendant moral au seul adversaire assez dangereux pour être susceptible de réussir à traduire en justice les traîtres de la Patrie.

Tout cela était inspiré par le principe – qui est tout à fait vrai en soi – que dans un gros mensonge, il y a toujours une certaine crédibilité ; parce que les grandes masses d’une nation sont toujours plus facilement corrompues par l’appel à l’émotion que consciemment ou volontairement ; et ainsi, dans la simplicité primitive de leur esprit, elles sont plus facilement victimes du gros mensonge que du petit mensonge, car elles-mêmes disent souvent de petits mensonges dans leurs petites affaires, mais auraient honte de recourir à des mensonges à grande échelle.

Il ne leur viendrait jamais à l’esprit de fabriquer des contrevérités colossales, et ils ne croiraient pas que d’autres puissent avoir l’impudence de déformer la vérité de façon aussi infâme. Même si les faits qui prouvent que c’est le cas leur sont clairement exposés, ils continueront à douter et à hésiter et à penser qu’il doit y avoir une autre explication. Un mensonge grossier laisse toujours des traces diffamantes derrière lui, même après qu’il a été établi, un fait connu de tous les experts en mensonge de ce monde et de tous ceux qui conspirent ensemble dans l’art du mensonge.

– Adolf Hitler, Mein Kampf, vol. I, ch. X

« Hitler et les Nazis mentaient tout le temps ! »

Le juif ment de manière extravagante, avec un aplomb tel que le goy, qui ne s’abaisserait jamais à une telle audace dans le mensonge, ne croit pas que l’on puisse bluffer à ce point. Le juif le sait et ment avec d’autant plus d’assurance.

C’est la première leçon à apprendre du combat politique.

Le propre de la propagande nationale-socialiste mise au point par Joseph Goebbels, au grand dam des démocraties juives, reposait sur une méthode purement aryenne : l’exactitude la plus rigoureuse des faits énoncés.

La voix la plus redoutée par les juifs, après celle d’Adolf Hitler

Le mensonge était absolument proscrit dans la presse allemande et les propagandistes du Troisième Reich suivaient des cours de formation en ce sens. Propagande ne veut pas dire « mensonge », mais répandre un message pour atteindre un but politique en convainquant les masses.

Libérer les masses des mensonges juifs par la propagation de la vérité était à la base du national-socialisme.

Contre Juda !

La détermination de Joseph Goebbels à être le plus précis et exact possible était telle, que les Alliés ne pouvaient pas balayer d’un revers de main les attaques de la propagande allemande.

Contrairement aux démocraties juives et à leur recours systématique au mensonge, le régime national-socialiste a fait de la vérité le principe même du combat face à elles. Les démocraties apprirent à redouter le Troisième Reich sur le terrain médiatique pour cette raison.

Goebbels évoqua « l’usine à mensonges » de Churchill en 1941 :

Le secret essentiel du leadership anglais ne dépend pas d’une intelligence particulière. Il dépend plutôt d’une remarquable et imperméable stupidité. Les Anglais suivent le principe selon lequel lorsqu’on ment, on doit mentir gros, et s’y tenir. Ils maintiennent leurs mensonges, même au risque de paraître ridicules.

Les juifs la tronquent et font dire à Joseph Goebbels l’exact inverse de ce qu’il a dit.

Comme les démocraties, le marxisme ment à échelle industrielle, au point d’avoir pour principal outil de mensonge, au temps de sa domination en Russie, un journal appelé « La Pravda » – la Vérité.

La seconde leçon, c’est qu’il est inutile de répondre aux mensonges des juifs, car, comme le disait Goebbels, pour un mensonge péniblement démonté, les juifs reviennent à la charge avec dix accusations mensongères dix fois plus outrancières que la précédente.

Ce n’est donc pas le mensonge qu’il faut attaquer, mais le menteur.

Sans la stupidité et la crédulité illimitées des  boomers, les juifs n’auraient pas établi leur dictature en Occident.

Cette génération d’antifas congénitaux est prête à avaler la dernière mystification vendue par les juifs. Ils ont créé le terreau culturel favorable à la croissance du pouvoir hébraïque dans les sociétés occidentales.

Il est grand temps de leur faire fermer leurs grandes gueules et cela passe par la réhabilitation des hérauts du combat contre les menteurs juifs.

Donc, ne devenez pas des boomers mentaux en répétant les stupidités que les juifs leur ont mis dans la cervelle, du style « c’est du fascisme de gauche ! », « c’est la gauche les vrais racistes ! » ou, quand la juiverie se livre à une attaque bolchevique contre les libertés blanches, « c’est le début du fascisme ! ».

Ne le faites pas.

Vous passez pour un demeuré et vous faites la courte échelle aux juifs dans leur lutte contre la race blanche en reprenant tous les présupposés du marxisme.

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