La rédaction
Démocratie Participative
03 septembre 2022
Naples, dans le sud de l’Italie, est pour ainsi dire une ville maghrébine racialement parlant.
Ce n’est donc pas la nouvelle du jour que ces terroni refusent de payer quoi que ce soit, mais enfin, c’est intéressant.
Les habitants de Naples brûlent leurs factures d’énergie et assiègent la mairie : « Nous ne payons pas les factures ! Maintenant ce sera le chaos ! » A Naples, on ne plaisante pas.
People in Naples burn their energy bills and besiege the town hall: « We don’t pay the bills! Now it will be chaos! » In Naples they don’t joke. pic.twitter.com/X2ZN82AfAT
— RadioGenova (@RadioGenova) September 2, 2022
Ces gens-là ne paient jamais rien, c’est le nord de l’Italie, c’est-à-dire la partie celto-germanique superficiellement latinisée, qui paie toutes les additions, car c’est elle qui a biologiquement la capacité productive.
Si les terroni refusent de payer, le nord aryen devra payer, ce qui rend la situation intenable pour l’état italien.
La carte économique de l’Italie est d’abord une carte raciale.
Ce fossé racial n’est pas nouveau, il remonte à la conquête aryenne de l’Europe. Les conquérants de l’Est se sont arrêtés aux environs du Latium. Tout ce qu’il y a en dessous est une soupe génétique antérieure venue d’Orient et d’Afrique du Nord.
Jadis, la Lega s’appelait la Lega Nord, avant qu’elle ne devienne un inutile mouvement tricolore unitariste sous l’influence de Salvini.
Elle partait empiriquement du principe que l’unification italienne était une erreur bio-culturelle à corriger par la séparation d’avec le Maghreb.
Avec l’effondrement financier de l’Italie, on peut espérer un démantèlement de cet état artificiellement unifié et la résurgence des cités-états du nord. Ce serait la meilleure chose qui puisse arriver, avec la destruction de la gauche et du papisme dans ce pays.
On ne doit pas sous-estimer le rôle affreusement destructeur de la Papauté dans l’Italie moderne, alliée à la maçonnerie, aux juifs, à la CIA, aux socialistes, aux musulmans, à la Mafia (sauf quand elle ne paie pas son pourcentage) et à tout ce qu’une démocratie peut charrier de ferments de putréfaction. Pour exister et continuer de vampiriser, le Vatican s’ingénie à empêcher toute construction politique organisée potentiellement capable de l’empêcher de pomper l’argent des masses italiennes.
Mussolini a commis l’erreur de négocier avec ces bandits, pour mieux se faire poignarder dans le dos à l’arrivée des chars protestants de l’US Army. Il aurait mieux fait de déporter tout ce fatras papiste en Afrique, au milieu des nègres, c’est-à-dire à leur véritable place. Il aura rendu un grand service à la cause du fascisme, et incidemment à son peuple.
Le seul état acceptable dans la péninsule est celui du périmètre de la République Sociale Italienne de 1943.
Tout ce qui se trouve au sud de Rome est une excroissance de la Méditerranée, c’est-à-dire de l’Afrique du Nord et du Levant, véritables bauges génétiques qui polluent l’Europe depuis des millénaires, la conquête islamique ayant encore aggravé le phénomène.
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