Captain Harlock
Démocratie Participative
18 août 2018
Cette grosse traînée de 36 ans, usée par la came et la bite africaine, en paraît 50
Sylvie entend bien faire payer au contribuable blanc la prise en charge du bâtard de nègre dont elle s’est rendue coupable.
Que s’est-il exactement passé le 25 novembre dernier chez Aboubacar, rue de Bel air à Nantes ? Neuf mois après le décès de cet homme de 31 ans, à la suite de son interpellation musclée à son domicile, la question hante toujours Sylvie et sa belle-famille. Cette femme de 36 ans, qui a partagé la vie de la victime pendant quatre ans, cherche à comprendre. « Je veux savoir pourquoi il est tombé dans le coma, de quoi il est mort, comment les policiers ont procédé… Pour l’instant, on n’a aucune réponse. »
Ce samedi d’automne, Sylvie n’est pas là quand trois policiers se présentent devant la porte de son ex-conjoint, le père de son fils de 3 ans et demi. Selon elle, Abou est depuis peu sujet à un comportement étrange. « Il ne mangeait plus, parfois criait, tapait sur les murs, jetait des choses par les fenêtres, mais n’était pas violent… », assure-t-elle. Appelés par des voisins lors de l’une de ces crises, les policiers semblent avoir du mal à maîtriser cet ancien militaire agité, qu’ils menottent aux poignets et aux chevilles.
Lors de l’intervention, deux agents sont blessés. Abou, lui, fait un arrêt cardiaque. Inconscient, il est transféré à l’hôpital, un poumon perforé et une côte cassée. « C’était le choc, il était branché à une machine. Ses yeux étaient très rouges, se souvient Sylvie. Il portait un gros pansement sur le cou. Personne ne m’a expliqué ce qui lui était arrivé. » Il est finalement décédé, moins d’une semaine après. « On me dit aujourd’hui que les causes sont inconnues. »
Sylvie porte plainte quelques jours plus tard pour « coups mortels ou atteintes volontaires ayant entraîné la mort ». L’IGPN est saisie. Une démarche soldée par un avis de classement sans suite, les faits ne constituant pas « une infraction pénale », relate le courrier reçu en juin par la plaignante. « Ça m’a dégoûté, regrette-t-elle. On veut nous épuiser mais moi je veux des réponses. Se sont-ils mis sur lui ? A-t-il été étouffé ? Je veux avoir accès au rapport d’autopsie, que mes avocats n’ont toujours pas pu consulter. »
Epaulée par l’assemblée des blessés, un collectif nantais qui dénonce les violences policières, la jeune femme se dit prête à aller plus loin, notamment en engageant un recours contre le classement de sa plainte.
Notez comme ce cas est similaire de celui de la pute à nègre de Rennes ayant osé déféquer un mulâtre trisomique avant d’exiger que les travailleurs blancs se saignent aux quatre veines pour prendre en charge les conséquences de son crime.
Je ne sais même pas comment, en 2018, une telle putain peut oser revendiquer quoique ce soit à l’encontre des policiers qui doivent se charger des déprédations du déchet racial avec lequel elle s’est ignoblement commise.
L’état raciste devra, dans le futur, systématiquement expulsé les sociopathes de ce genre vers l’Afrique après avoir été préalablement stérilisées par le ministère de la Santé.