Nantes : sa tribu lui truffe la chatte de piment avant de préparer son retour en Centrafrique pour être désenvoûtée

Leutnant
Démocratie Participative
05 avril 2019

Messieurs, la capitale de la Bretagne.

Actu 17 :

Mercredi, le tribunal correctionnel de Nantes en Loire-Atlantique a condamné une femme de 44 ans à trois mois de prison avec sursis. La justice lui reprochait d’avoir exercé des violences sur sa fille de 14 ans. L’autorité parentale ne lui a toutefois pas été retirée.

Son cousin, qui lui a tondu le crâne, a affirmé avoir agi sur ordre de sa tante. Il a été reconnu coupable mais exempté de peine.

L’affaire a débuté le 31 décembre 2017. L’adolescente avait alors déjà fait six fugues en trois mois. Ses parents avaient appris qu’elle aurait eu des relations sexuelles avec un adulte. Ils la soupçonnaient même de se livrer à la prostitution.

Ce jour-là, les parents de l’adolescente étaient partis la récupérer en gare SNCF de Nantes alors qu’elle s’apprêtait à fuguer de nouveau. Elle aurait reçu des coups de ceinture, et son crâne avait été rasé, avec la complicité de son cousin de 24 ans. Du piment avait même été introduit dans son vagin.

L’adolescente s’était vu délivrer un certificat de 30 jours d’incapacité totale de travail (ITT). Bien qu’elle soit née en France, sa famille voulait l’envoyer en Centrafrique pour la « désenvoûter », rapporte Actu.fr.

Lors de l’audience, le Procureur de la République a déclaré : « C’est toute une communauté qui, pour des raisons culturelles, fait preuve d’une violence incroyable envers cette jeune fille car elle croit que c’est bénéfique pour elle ». L’avocat de la victime a, pour sa part, déploré un procès « sous l’angle d’une jeune fille qui ne respecte pas l’autorité ».

Le Procureur a discerné qu’il avait des nègres en face de lui sans comprendre qu’il est illusoire de vouloir les dénégrifier.

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