Captain Harlock
Démocratie Participative
16 août 2020
Si vous l’ignorez, la principale activité des bourgeoises féministes consiste à parler de leur chatte. Et donc à monter des genres de sculptures bizarres représentant leurs chattes.
Très peu de Nantais ont finalement vu l’œuvre Fontaine d’Elsa Sahal dégradée par un jet de peinture verte dans la nuit du 13 au 14 août, place Royale, à Nantes. En effet, le nettoyage, par les services de la ville, a démarré dès le matin pour retirer les trois à quatre kilos de peinture venus recouvrir le monument en grès émaillé rose.
Les auteurs du jet de peinture photographiaient l’œuvre comme des touristes quand ils ont jeté la peinture avant de prendre la fuite à vélo.
Le Voyage à Nantes a décidé de porter plainte.
Sur Twitter, l’adjoint nantais à la culture, Aymeric Seasseau, a réagi : « Rien n’arrêtera la marche pour l’égalité », en référence au caractère féministe de la statue.
Il n’y a pas plus cringe qu’un mâle beta qui exhibe sa soumission aux vaginocrates.
Salir, détruire, s’attaquer aux arts et à la culture… L’indignité n’a pas de limites pour les nervis de la bien-pensance. #Nantes est belle lorsqu’elle est rebelle. Et rien n’arrêtera la marche pour l’égalité. L’œuvre d’Elsa Sahal sera restaurée dès ce matin. #VAN https://t.co/JE1QIEG4W2
— Aymeric Seassau (@aymericseassau) August 14, 2020
« L’artiste » à l’origine de cette expérience est la juive Elsa Sahal.
Je ne sais pas exactement en quoi montrer une chatte qui urine sert à quoi que ce soit en pratique. C’est étrange.
Le concept juif qu’est le féminisme est étrange.