Breiz Atao
28 avril 2017
Après les diverses violences qui se sont déroulées cette semaine à Naoned (Nantes) à l’initiative de groupuscules anarcho-communistes (voir ici), l’édile socialiste de la ville, Johanna Rolland, n’a pas jugé utile de protester. Mieux, elle encourage l’extrême-gauche.
« Touche pas à mon centre-ville », un collectif de riverains et de commerçants nantais, a fait part de son exaspération sur sa page Facebook (source) :
Aucun appel au calme, pire, une surenchère. Loin de l’aspect politique qu’elle défend, nous demandons une prise de position claire concernant les manifestations liées à la présidentielle ! Nous n’attaquons pas votre prise de position politique mais votre discours alarmant concernant les événements qui surviennent à Nantes.
En effet, les débordements se sont multipliés depuis une semaine, avec l’attaque de la FNAC par des communistes armés de cocktails Molotov.
La municipalité socialiste nantaise poursuit la politique de protection de la nébuleuse anarcho-communiste déjà en vigueur depuis des années, ceci malgré les nombreuses émeutes et dégradations dont elle s’est rendue coupable.