Wolf
Démocratie Participative
26 août 2017
Celui qui n’a pas encore compris – ou feint de ne pas comprendre – que nous sommes dans une guerre d’extermination raciale destinée à anéantir la race blanche en Europe est encore plus coupable que cette vermine pullulante.
Les Soudanais évacués de la maison qu’ils squattaient à l’est de Nantes sont loin d’être les seules demandeurs d’asile et migrants à la rue. Ils seraient plusieurs centaines alors qu’une partie d’entre eux devraient être hébergés, comme le prévoit la loi.
Comme les sept Soudanais évacués de la maison qu’ils squattaient à l’est de Nantes, plusieurs centaines de migrants et de demandeurs d’asile seraient à la rue selon la Cimade, l’une des associations qui leur vient en aide.
Ils sont à la rue alors que ceux dont la demande d’asile est en train d’être étudiée devraient être hébergés, c’est ce que dit la loi. Sauf qu’il n’y a pas assez de place. Les centres d’accueils sont pleins depuis déjà plusieurs mois, les appartements et les chambres d’hôtel aussi. Ces demandeurs d’asile se retrouvent donc à la rue. Il s’agit d’hommes et de femmes seuls pour la plupart, dernière roue du carrosse après les familles, les femmes enceintes et les malades.
Toute la pouillerie de l’Afrique se déverse au cœur de nos cités. Et ces négresses pleines viennent chier leur négraille qui, demain, sera l’armée qui égorgera nos filles.
Il y a aussi tout ceux qui attendent de pouvoir déposer leur demande d’asile. Un Soudanais, un Érythréen ou un Tchétchène qui arrive aujourd’hui à Nantes n’aura pas de rendez-vous pour le faire avant décembre ! Et, en attendant, là aussi c’est la débrouille explique Vanessa Bernard, en charge des questions juridiques à la Cimade. « Il y a ceux qui arrivent à se faire héberger chez des compatriotes, ceux qui tentent leur chance en appelant le 115, qui trouvent refuge à la gare aux urgences de l’hôpital. Il y a aussi ceux qui s’installent dans des squats. Ils sont de plus en plus nombreux et de plus en plus grands, avec des dizaines de personnes. Et il y en a quelques-uns, aussi, qui dorment sous des tentes ». Beaucoup sont fatalistes : « après toutes les épreuves qu’ils ont traversées pour arriver jusqu’en France, ils s’estiment déjà chanceux, même s’ils doivent dormir dehors ».
Face à cette situation, la Cimade pousse les demandeurs d’asile à saisir le tribunal pour obtenir un hébergement. De nombreuses requêtes ont déjà été déposées devant le tribunal administratif.
Je n’ai pas besoin de vous dire le sort qui atteint ces traîtres. Nous le savons tous.