Nancy : une femme flic balance dix policiers blancs à l’IGPN pour protéger Saïd le bicot

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 septembre 2021

 

La chasse aux mâles blancs s’intensifie dans la police républicaine, sur ordre des loges maçonniques qui agissent elles-mêmes sur ordre des juifs.

Sputnik News :

Un rapport de l’IGPN, consulté par Le Monde, indique qu’une «ambiance malsaine» régnait à la BAC de nuit de Nancy. Des agents devront répondre en justice le 10 septembre de faits de harcèlement moral et d’injures non publiques racistes.

Le harcèlement n’est pas un problème nouveau au sein de la police. Ainsi, après que plusieurs ex-agents rouennais se sont présentés le 3 septembre devant le tribunal de police d’Évreux pour avoir échangé des propos racistes visant l’un de leurs collègues, Le Monde a pu consulter un rapport rédigé par l’antenne de Metz de l’inspection générale de la police nationale (IGPN). Il y est décrit l’«ambiance malsaine» entretenue par des membres de la BAC de nuit de Nancy.

Le quotidien indique que le 10 septembre, 10 agents de police de la brigade anticriminalité (BAC) de nuit de Nancy vont répondre de harcèlement moral et d’injures non publiques à caractère raciste commis sur des collègues. Quatre d’entre eux seront parties civiles.

D’après ce document, une commandante a dénoncé les comportements xénophobes de ce groupe caractérisé par un tatouage récurrent de tête de loup porté sur l’avant-bras.

Je suis totalement pris de court.

UNE FEMME BLANCHE prendrait l’initiative de détruire professionnellement dix policiers blancs pour signifier à des mâles de couleur qu’elle entend faciliter leur domination – sexuelle ?!

Vous voilà avertis, les mascus.

Les Françaises fières, fortes et indépendantes sont EN CHARGE.

Un gardien de la paix, témoin des faits et membre de l’unité qui a avisé en 2018 le commissaire dirigeant le service d’intervention, d’aide et d’assistance de proximité du commissariat de Nancy, avait des captures d’écran d’échanges sur un groupe de messagerie privée.

La source relate que Saïd B. était un policier expérimenté natif des Vosges, un ancien «baqueux» de région parisienne «motivé et travailleur». Mais ses origines ont posé problème auprès de ses nouveaux collègues de la BAC de nuit de Nancy, en avril 2017.

«Je ne veux pas être dans le groupe du bougnoule», a-t-il entendu, comme le spécifie Le Monde, dans les couloirs du commissariat peu après son arrivée. Il a même été visé par d’autres vexations encore plus directes comme des inscriptions «On a vu mieux comme casting» et «C’est bientôt fini», scotchées sur la porte de son casier. En outre, ses collègues refusaient de lui serrer la main et de lui adresser la parole.

Le Monde relate qu’il a aussi été traité de «bico», de «bougnoule» et a été la cible d’injures et de récurrentes accusations d’incompétences sur le groupe de messagerie privée dont il a été exclu.

Avant Saïd B., au moins trois autres fonctionnaires ont fait les frais du «climat de haine» entretenu par le «phénomène de meute» décrit sur le procès-verbal, d’après le quotidien.

Évoquant les déclarations de Saïd B., l’IGPN a observé que l’«ambiance malsaine au sein de la BAC de nuit de Nancy était préjudiciable aux résultats de la brigade, dont les effectifs étaient plus concentrés sur les médisances que sur les interpellations».

En outre, le rapport note que même le chef de service, nouvellement nommé en juin 2017, a été victime de ce groupe, stigmatisé, ostracisé, contesté, avec des instructions rarement appliquées. De plus, selon le document, son adjoint a fait preuve à son endroit d’une «particulière déloyauté».

«C’est ce qui est particulièrement grave dans ce dossier, a conclu Frédéric Berna, avocat des quatre agents qui ont porté plainte. Des fonctionnaires s’étaient organisés, contre leurs collègues, pour s’approprier le droit d’assurer l’ordre public selon leurs propres règles, au mépris de la discipline, et au risque assumé de fragiliser les procédures dans lesquelles ils intervenaient».

Le Monde précise que pour le moment des blâmes et des exclusions temporaires ont été prononcés à l’encontre de certains agents mis en cause, avant un conseil de discipline prévu fin septembre.

C’est un cas d’école.

Il y avait déjà eu l’affaire de Rouen où des policiers avaient imprudemment utilisé Whatsapp pour parler d’un métèque déguisé en policier qui s’est évidemment saisi de la première opportunité pour les faire virer à la minute où il a vu les échanges. Là aussi, en tombant sur ce qui se racontait sur cette messagerie.

Les flics de la BAC de Nancy n’ont pas été plus prudents. Ils n’ont pas adopté les mesures élémentaires à leur propre sécurité. Accepter ce maghrébin dans leur groupe de messagerie a été l’erreur fatale qui devait inévitablement mener à leur perte.

En pareil cas, il faut deux groupes : un groupe banal pour le travail et un groupe secret pour les éléments sûrs.

Mais au delà de ça, c’est cette femme blanche qui a précipité leur chute. Sans cette femme blanche se prenant pour un mec qui était désireuse de faire du zèle pour protéger sa couvée maghrébine, l’affaire n’aurait pas pris cette tournure.

Entre les femmes blanches et les allogènes, la police française est condamnée à devenir un véritable zoo. Ce qui n’est pas plus mal, la machine sera de moins en moins efficace.

Une femme flic, officier de surcroît, est par définition une femme qui veut jouer au mec en caporalisant – c’est-à-dire en castrant – des hommes blancs pour se venger symboliquement de leur père parce qu’elles sont nées avec une chatte.

Elles feront tout pour détruire la société, et d’abord en ouvrant les portes aux mâles marron pour qu’ils attaquent des hommes blancs.

La femme blanche est le cheval de Troie de l’invasion allogène et le white knight est le cheval de Troie de l’invasion féminine.

En dernière instance, une organisation ou une institution qui tolère des white knights plaidant la cause des traînées finira aux mains de femmes blanches qui ont voué leur vie à l’invasion totale du monde blanc.

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