Mythe de l’holocauste : la justice polonaise interdit aux juifs de mentir pour essayer de piller la Pologne

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 Février 2021

Les juifs apprennent à escroquer les goyim dès le plus jeune âge

La justice polonaise est formelle : les juifs n’ont pas le droit de mentir pour escroquer les Polonais.

The Times of Israël :

La justice polonaise a ordonné mardi à deux historiens renommés de publier des excuses en raison d’ « inexactitudes » dans un livre sur la Shoah dont ils sont les auteurs, à l’issue d’un procès en diffamation qui a suscité un vif débat sur la liberté de la recherche scientifique dans le pays.

Les professeurs Barbara Engelking, présidente du Conseil international d’Auschwitz, et Jan Grabowski de l’Université d’Ottawa, sont co-auteurs d’un ouvrage intitulé « Plus loin, c’est encore la nuit », qui fait état de nombreux cas de complicité de Polonais dans le génocide juif pendant la Seconde Guerre mondiale.

Le procès a été intenté par la nièce d’Edward Malinowski, qui fut maire du village de Malinowo (nord-est) pendant l’occupation allemande, et dont l’implication présumée dans un massacre de Juifs est brièvement évoquée dans cet ouvrage.

La juge Ewa Jonczyk a conclu à « l’inexactitude » des affirmations sur l’implication de M. Malinowski dans ce massacre et a reconnu le droit de la plaignante, Filomena Leszczynska, au « culte de la personne décédée ».

La magistrate a toutefois rejeté une requête en dédommagement de plus de 22 000 euros pour éviter un « effet dissuasif pour d’autres recherches ».

Les chercheurs ont annoncé vouloir faire appel.

« Je respecte la décision de justice mais j’ai dû mal à l’accepter. J’espère que nos raisons seront prises en compte » en appel, a précisé le professeur Grabowski au quotidien Gazeta Wyborcza.

Le procès s’est tenu dans un climat de défiance, encore renforcée depuis l’arrivée au pouvoir en Pologne d’une droite nationaliste accusée de vouloir réécrire l’histoire du pays et décourager les enquêtes sur les agissements polonais sous l’occupation allemande.

Ce ne sont pas du tout les juifs qui veulent réécrire l’histoire du pays.

Ce sont les Polonais.

Les Polonais refusent d’admettre qu’ils ont mis en œuvre le Polocauste en forçant Adolf Hitler à gazer 6 trilliards de juifs avec de l’insecticide avant d’en faire des abats-jours.

Tout le monde le sait.

Mais les Polonais ont encore l’audace de nier ce que le monde entier sait.

Le Mémorial de la Shoah de Jérusalem, et nombre d’organisations juives et de chercheurs des deux côtés de l’Atlantique, ont vivement condamné les poursuites judiciaires engagées contre les historiens.

En réaction au verdict de la justice polonaise, Ronald S. Lauder, le président du Congrès juif mondial, a fait part mardi de sa « consternation » par une décision qui « n’est pas de bon augure pour l’avenir de la recherche historique en Pologne ».

« J’espère que le verdict d’aujourd’hui sera annulé en appel et que le jour viendra où les décisions concernant l’intégrité de l’histoire seront à nouveau laissées aux historiens et non aux politiciens ou aux juges », a ajouté M. Lauder, dans un communiqué.

Extraordinaire.

La même juiverie internationale qui exige la brutale répression des historiens révisionnistes au moyen de lois d’exception se dit « consternée » par des lois « limitant la recherche historique ».

Dites-moi : comment ne pas haïr ce peuple d’escrocs ?

J’avais couvert extensivement ce dossier dès 2019.

Il n’est pas plus question de « liberté de recherche historique » que d’apporter la démocratie à la Syrie, à l’Irak, à l’Afghanistan ou à la Libye.

La seule question ici pour la juiverie est de trouver une nouvelle nation à saigner à blanc financièrement, l’Allemagne ayant déjà été pressée comme un citron par cette race de vampires.

Chez les juifs, c’est la routine.

Ils menacent régulièrement tous les états blancs avec le mythe de l’holocauste pour remplir leurs coffres d’or volé aux goyim.

La Pologne présentait du point de vue de ces piranhas tous les avantages. Il suffit de reprendre « La Liste de Schindler », d’en refaire le marketing puis de mobiliser les démocraties occidentales aux mains des juifs contre la Pologne.

Vous croyez peut-être que je plaisante mais c’est exactement de cette façon que les juifs opèrent.

Il y a deux ans, ils ont effectivement diffusé une version remasterisée de « La Liste de Schindler » dans laquelle des juifs déclaraient que les Polonais qui avaient vraiment organisé l’Holocauste à la place des Allemands étaient sur le point de les jeter dans des camps de concentration.

Les juifs continuaient en donnant au gouvernement américain toute une liste de sanctions à adopter contre la Pologne.

L’obscénité de la juiverie s’y expose à l’état chimiquement pur.

Leurs exigences vis-à-vis de la Pologne s’élèvent à la modique somme de 300 milliards de dollars.

Soit plus de la moitié de la richesse nationale de ce pays.

Les juifs réclament donc la moitié de la Pologne en réparation du gazage de 6 millions de juifs par les Polonais.

Mais ce n’est qu’un début.

Nous avons déjà parlé du véritable projet juif pour la Pologne. Ce n’est pas du tout un secret puisque les juifs ont longuement exposé leur programme dans le cadre du « Mouvement de Renaissance juive en Pologne » initié par la juive israélienne Yaël Bartana.

Vous pouvez visionner l’intégralité de cette session du Politburo où des hébreux en transe multiplient les exigences, parmi lesquelles le repeuplement de la Pologne juive par des millions de musulmans et de nègres d’Afrique figure au sommet des priorités.

D’une façon ou d’une autre, le gouvernement polonais a pris la mesure du plan juif pour leur pays et a décidé de riposter.

En pareil cas, les juifs ont pour habitude de déclencher de violents troubles sociaux en se servant des femmes blanches.

Nous allons suivre ce qui se passe de ce côté-là dans les prochains mois.

Commentez l’article sur EELB.su