Morrissey doute de la grandeur de Londres maintenant qu’elle pourrit dans son curry pakistanais

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 avril 2018

Morrissey vomit encore son racisme hideux contre la vibrante ville de Londres.

Russia Today :

Dans un entretien accordé à un journal musical en ligne ce 17 avril, Morrissey, l’ex-chanteur du groupe britannique The Smiths dresse un portrait au vitriol de Londres et du rapport qu’entretiennent les Britanniques avec la délinquance des minorités.

Je ne vois pas bien de quelles « minorités » il s’agit, puisque les Blancs sont minoritaires à Londres depuis des années déjà.

Et elle s’en porte beaucoup mieux.

«Londres est une ville avilie», regrette-t-il en préambule, mettant en cause notamment le maire de la ville, Sadiq Khan, d’origine pakistanaise, qui selon lui «ne sait pas s’exprimer correctement en anglais». «J’ai vu une interview où il parlait de santé mentale, et il a dit à plusieurs reprises « men’el » au lieu de « mental ». Il ne pouvait pas dire correctement les mots « santé mentale ». Le maire de Londres! La civilisation est finie !», détaille ainsi le musicien.

C’est exagéré. Enoch Powell nous a fait le coup des « rivières de sang » au sujet de l’immigration au Royaume-Uni.

Il s’avère qu’en fait, il ne s’agissait que de rivières de curry.

Donc, parler de fin de « civilisation », c’est aller un peu loin.

Et Sadiq parle un excellent anglais.

Donc voilà.

Evoquant le sujet des attaques à l’acide qui défraient régulièrement la chronique dans la capitale britannique, il explique en outre : «Londres est au deuxième rang après le Bangladesh au niveau du nombre d’attaques à l’acide. Toutes les attaques proviennent d’individus non-blancs, et donc ce problème ne peut pas être traité de manière honnête par le gouvernement britannique ou la police ou la BBC [chaîne de télévision publique britannique] en raison du politiquement correct. Ce que cela signifie, c’est que l’auteur de l’attaque est considéré comme une victime. Nous vivons à l’âge de l’atrocité».

La force d’une ville diverse comme Londres, c’est précisément d’intégrer toutes les cultures, à égalité.

En quoi cette tradition du Bangladesh serait-elle problématique ?

Morrissey, engoncé dans son imaginaire colonial raciste, cherche à poser les Blancs en victimes. C’est vraiment insupportable.

Il fustige également l’emploi systématique du mot «raciste» dans la société britannique pour disqualifier tout propos contradictoire. «Nous sommes tous traités de racistes maintenant, mais ce mot n’a plus de sens», juge-t-il.

Il doit bien signifier quelque chose. Enfin, tant qu’il concerne les Blancs.