Captain Harlock
Démocratie Participative
11 juin 2018
Le chanteur britannique Morissey a courageusement pris position pour Tommy Robinson et, plus généralement, pour la droite nationaliste.
Morrissey a tenu à s’expliquer suite à la controverse soulevée par son soutien au parti d’extrême droite For Britain. Le chanteur s’était également dit « choqué » par le traitement médiatique subi par Tommy Robinson, fondateur de la English Defense League, formation décriée entendant lutter contre l’islamisation du Royaume-Uni tout en se déclarant apolitique.
« For Britain n’a reçu aucun support médiatique et a même été disqualifié avec la sempiternelle accusation de racisme », a expliqué le fondateur des Smiths lors d’un entretien relayé par NME.
« Je ne pense pas que le mot « raciste » ait encore du sens, autrement qu’en disant, « tu n’es pas d’accord avec moi, alors tu es raciste », a continué Morrissey. Les gens peuvent être complètement, mais complètement stupides. »
Ce que le chanteur souhaiterait voir, c’est plus de liberté de parole dans l’arène politique. Pour lui, le leader de For Britain, Anne Marie Waters, se prononce sur « tous les aspects de l’Angleterre moderne, quand les autres partis n’admettent pas la diversité des opinions. Elle est comme une version humaine de Thatcher… à supposer que ce soit possible. »
Morrissey demande, à mots couverts, le droit pour les Blancs de se défendre et que cette défense devrait être légalisée, contrairement à ce qui passe actuellement en Occident.
Il ne fait plus mystère de ce qu’il pense du glorieux tas de merde au curry qu’est devenu le Royaume-Uni.
«Londres est une ville avilie», regrette-t-il en préambule, mettant en cause notamment le maire de la ville, Sadiq Khan, d’origine pakistanaise, qui selon lui «ne sait pas s’exprimer correctement en anglais». «J’ai vu une interview où il parlait de santé mentale, et il a dit à plusieurs reprises « men’el » au lieu de « mental ». Il ne pouvait pas dire correctement les mots « santé mentale ». Le maire de Londres! La civilisation est finie !», détaille ainsi le musicien.
Evoquant le sujet des attaques à l’acide qui défraient régulièrement la chronique dans la capitale britannique, il explique en outre : «Londres est au deuxième rang après le Bangladesh au niveau du nombre d’attaques à l’acide. Toutes les attaques proviennent d’individus non-blancs, et donc ce problème ne peut pas être traité de manière honnête par le gouvernement britannique ou la police ou la BBC [chaîne de télévision publique britannique] en raison du politiquement correct. Ce que cela signifie, c’est que l’auteur de l’attaque est considéré comme une victime. Nous vivons à l’âge de l’atrocité».
Morrissey en est venu aux mêmes conclusions que nous : tous ces métèques, surtout musulmans, plongent le monde dans un âge noir d’où rien de grand ou de beau ne ressort plus.
C’est du genre, « putain, on a donné notre pays à ces animaux et y’en a qui ont encore un genre d’explication pour ça, wouah ».
Ouais.
Mais Londres était une ville ennuyeuse et décadente, il fallait enrichir culturellement cette société plutôt que de la laisser mourir de consanguinité.
Enfin, apparemment.