Capitaine Harlock
Démocratie Participative
27 janvier 2018
Kiki
Il faut être une vermine d’extraction gitane pour se livrer à de tels actes de cruauté.
”Kiki”, un chien de race kidnappé en plein jour dans une artère de Montpellier a été récupéré par son maître, dans un campement de Roms, contre le versement de 250€. Récit de cette incroyable affaire.
Le maître de “Kiki” est resté cinq jours sans aucune nouvelle, depuis qu’il avait brutalement disparu le week-end dernier, alors qu’il était sorti faire son petit tour sur la place Saint-Denis, entre Rondelet et Gambetta, à Montpellier. Persuadé dans un premier temps qu’il s’était égaré, avant d’en douter, il a décidé, mardi, de placarder des affichettes avec la photo du chien, quand, alors qu’il venait d’en poser une sur une façade du quartier, il a aperçu quelqu’un qui, à la lecture d’une affiche placardée un peu plus loin, était en train de téléphoner au numéro de portable inscrit en bas de l’avis de recherche.
En fait, ce témoin était en train d’appeler le propriétaire de “Kiki”, qui s’est rapidement venu à sa rencontre : ce Montpelliérain venait de reconnaître sur les affichettes le chien enlevé par une femme et une fillette, deux gitans de la communauté Rom selon lui. Il en était même quasiment certain.
Il fournissait un signalement précis des deux “ravisseuses” au maître de “Kiki”, qui, en se renseignant auprès d’amis proches de cette communauté lui donnait un indice : le chien était susceptible d’être retenu dans le campement des hauts de Celleneuve, entre Alco et Pierrevives, avec l’intention de le vendre. C’est dans ce campement de Roms que seraient parqués des chiens de race dérobés dans les rues de Montpellier, dans le cadre d’un trafic organisé.
Courageusement, le propriétaire de “Kiki” s’est déplacé dans le campement des hauts-de-Celleneuve, accompagné d’un ami, où des responsables qui ont refusé de le faire rentrer, leur a assuré que “Kiki” n’était détenu là, mais qu’il se trouvait sans doute dans le campement de Roms de la Marbrerie, dans le quartier de Grammont, après le Zénith Sud, à Montpellier.
L’information était bonne, les deux hommes ont débarqué jeudi dans ce campement de la route de Mauguio, où un Rom -le mari et père de la Rom et de la fillette aperçues à Saint-Denis avec le toutou- confirmait que le chien se trouvait bien dans une cage, qu’il était prêt à le restituer, mais contre le versement d’une rançon de 200€, avec en sus, emmener cette famille en voiture pour leur payer des courses dans un hypermarché de la ville…
Dès qu’il a été en possession de “Kiki”, après avoir donné les 250€, le maître a fait mine de venir récupérer la famille des Roms à bord de sa voiture pour les conduire dans un supermarché, avant d’accélérer et de quitter les lieux. “Kiki” était en piteux état : il a visiblement été maltraité durant les cinq jours passés à la Marbrerie, puisqu’il avait des traces de coups, qu’il avait une dent cassée et qu’il était amaigri et affamé.
Après un passage chez un vétérinaire, le propriétaire du chien a alerté la SPA de Montpellier et envisage de déposer plainte auprès du commissariat de police, ce qu’il fera ce samedi.
Il ne fait pas l’ombre d’un doute qu’un chien est d’une valeur bien supérieure à cette sous-humanité. Qui peut contester que « Kiki » est d’une noblesse naturelle inaccessible à cette engeance ?
Ce n’est pas un hasard si la juiverie prend fait et cause pour cette vérole : c’est le meilleur dispositif d’alerte dont elle dispose. Toute manifestation de défense face à la prédation tzigane constitue, pour le juif, un signal d’alarme majeur : il se sait en danger, pour les mêmes raisons de rapine parasitaire.
Qui se ressemble, s’assemble.