Capitaine Harlock
Démocratie Participative
23 mars 2018
Apparemment, les gauchistes et autres métèques qui squattaient la faculté de droit de Montpellier ont été paisiblement invités à quitter les lieux et se sont exécutés sans grande résistance.
Jeudi, à l’occasion de la journée de mobilisation nationale pour la défense du service public, une assemblée générale intersyndicale se tenait à la faculté de droit et de sciences politiques de Montpellier. L’occupation de l’amphithéâtre était votée jusqu’à la prochaine AG qui devait se dérouler ce vendredi matin.
Vers minuit, alors que l’amphithéâtre était occupé par une cinquantaine d’étudiants, des individus masqués, un dizaine environ, ont fait irruption. Cagoulés, armés de lattes de bois, de gants renforcés (et même, selon certains témoignages, d’un taser), ils ont semé la terreur parmi les étudiants. Certains discutaient d’autres dormaient. Plusieurs jeunes ont été frappés, trois d’entre eux ont été blessés. Des agressions accompagnées de brimades, d’insultes racistes et homophobes, selon plusieurs témoins.
Il y a une vidéo.
Je n’ai vu aucune violence dans cette vidéo bizarre. On voit des gens qui parlent fort et l’image est de mauvaise qualité. C’était peut-être un genre de défi, quelque chose comme ça.
C’est le plus probable.
On ne peut cependant pas complètement écarter un faux mouvement de foule organisé sur ordre d’Olivier Besancenot, obéissant lui-même aux ordres du youpin Krivine.
Léna, actuellement en première année de prépa au lycée Joffre était présente jeudi soir : « C’était affreux, d’une violence extrême, ils ont attrapé les deux premières personnes qu’ils ont vu etles ont fracassées, « vous sortez ou il va vous arrivez la même chose », tout le monde s’est fait sortir très violemment,certains ont été traînes par terre, une copine était en sang au sol. «
Quand ils ont réussi à pousser tout le monde dehors, ils se sont enfermés à l’intérieur avec les gens de l’administration, dont le doyen de la fac. La police est arrivée et nous a expliqué qu’elle ne pouvait pas rentrer par ce qu’elle n’avait pas l’autorisation du doyen. Certains ont reconnu parmi les agresseurs des enseignants. Moi j’ai vu le Doyen, je l’affirme. »
« Moi j’ai eu très peur. Faut voir la scène : je suis encore sous le choc. Ce qui est le plus choquant, explique Léna, c’est quand les agresseurs à l’intérieur ont commencé à se démasquer, à se serrer la main et à applaudir, se féliciter d’avoir agressé des fachos ! Moi j’ai 18 ans, et je n’ai jamais été violente avec personne.Je vais aller porter plainte,parce que c’est une atteinte terrible à la démocratie dans un bâtiment dédié à l’éducation. J’espère que la police donnera suite. »
Dans une soi-disant bagarre où des communistes se disent tabassés, dans le doute, il faut partir du principe qu’ils sont coupables des troubles.
On ne peut décemment pas être communiste et innocent.
C’est impossible.
Un marxiste est coupable par définition.
La ligue des Droits de l’Homme de l’Hérault demande des explications et l’ouverture d’une enquête. « Cette agression a eu lieu sous le regard, selon les témoins, du doyen de la faculté et avec l’aide, tel qu’il ressort des vidéos, des vigiles de la faculté. Au regard de la violence des images, la LDH de l’Hérault demande au procureur de la République l’ouverture d’une enquête concernant la mise en place d’une milice privée,intervenant de façon coordonnée, avec armes et violences afin d’effectuer une expulsion illicite. Il ressort des vidéos des voies de fait et des violences volontaires au sein de l’établissement universitaire. »
« Nous demandons au président de l’Université de Montpellier d’effectuer une enquête interne et de prendre les mesures qui s’imposent.Ces violences sont inadmissibleset ne peuvent rester dans un État de droit, impunies. », conclut le communiqué de la LDH.
Je pense que les rouges de la LDH veulent semer des troubles.
En fait, il paraît même évident qu’elle qui est derrière ces troubles.
La LDH, financée par l’immonde youtre Soros, veut semer la guerre en France.
Ils sèment le chaos et font des vidéos que personne ne comprend pour y parvenir, avec l’aide de la presse juive.
Dans le doute, l’option la plus raisonnable est de faire arrêter immédiatement tous les membres de la LDH.