Montargis : Clothilde, enceinte de son 4ème négrillon et convertie à l’islam, massacrée par son mari sénégalais et sa seconde épouse

Leutnant
Démocratie Participative
22 octobre 2022

Une belle histoire d’amour sénégauloise.

La République du Centre :

Y a-t-il eu des signaux d’alarme sur la situation de Clothilde B., tuée à Montargis le 3 août 2022 ? Plusieurs alertes, qui ne revêtaient pas de caractère d’urgence, avaient été lancées depuis le début de l’année.

C’est l’image qui reste en tête, intolérable : celle d’une porte désespérément fermée, derrière laquelle une jeune femme de 31 ans est morte dans des conditions effroyables.

Une porte que certains regrettent de n’avoir pas pu faire ouvrir, par la force s’il le fallait. Comme ces professionnels de santé, inquiets que cette future maman, dépeinte comme étant sous l’emprise de son mari et proche du terme, ne se rende pas aux consultations obligatoires et ne donne plus de nouvelles. Ils ont alerté à plusieurs reprises, redoutant un drame, au vu d’une situation jugée anormale.

Le 3 août 2022, vers 4 heures du matin, les secours étaient appelés au 25, rue du Faubourg-de-la-Chaussée, à Montargis. A leur arrivée, ils découvraient dans un logement au premier étage d’une résidence du quartier populaire de La Chaussée Clothilde B., enceinte de 8 mois, inconsciente et dont le corps témoignait des violences subies. La jeune femme décédera quelques heures plus tard au centre hospitalier de l’agglomération montargoise. Son bébé à naître, une petite fille, n’a pas pu être sauvé.

Dans l’appartement, un simple T1, secours et policiers avaient constaté sur le corps de la jeune femme les marques d’un calvaire enduré depuis des jours, voire des semaines. Et entrevu, effarés, les conditions miséreuses dans lesquelles vivaient Clothilde, son époux et leur trois jeunes enfants âgés de 2 à 5 ans, mais aussi l’autre compagne de l’homme, enceinte elle aussi, et leur enfant de 3 ans.

Le procureur de la République de Montargis d’alors, Loïc Abrial, évoquera « l’aspect rachitique » des enfants » et un logement insalubre « avec la présence de moisissure et de nombreux cafards ». Le mari de Clothilde et son autre compagne seront tous deux mis en examen pour meurtre accompagné d’actes de torture et de barbarie.

En mars 2022, la Crip (cellule de recueil, de traitement et d’évaluation des informations préoccupantes), chargée de la protection de l’enfance, avait demandé une évaluation sociale de cette famille, après que l’insalubrité du logement et la présence de deux « épouses » et de plusieurs jeunes enfants avaient été constatées. Selon nos informations, les évaluateurs ont bien tenté d’entrer en contact. Sans succès. La porte est restée fermée.

Deuxième information préoccupante, émanant cette fois du service social en faveur des élèves, concernant l’enfant de la deuxième compagne. La crainte d’alors : celle d’une déscolarisation et d’un départ à l’étranger. La Crip avait formulé un signalement auprès du parquet de Montargis, en juillet 2022.

Autres signaux préoccupants, la grande méfiance de cette famille vis-à-vis du corps médical et ce, depuis des années. La Montargoise, convertie à l’islam après la rencontre avec son époux au Sénégal, pratiquait sa foi de manière très radicale. Toujours selon nos informations, il n’y aurait pas eu de suivi prénatal pour les premières grossesses de Clothilde, déclarées très tardivement, comme la dernière d’ailleurs.

Pour celle-ci, la jeune Montargoise n’a pas honoré les rendez-vous fixés pour les dernières visites obligatoires. Il y en a sept en tout et la future maman ne serait venue qu’à trois de ces rendez-vous.

En cas d’absence à ces examens et d’échecs des nouvelles prises de contact avec la future maman, les médecins se tournent vers les services de la PMI (protection maternelle et infantile) qui, à leur tour, tentent de savoir si tout va bien.

Dans le cas de Clothilde B., des professionnels ont bien été envoyés au domicile de la jeune femme. Personne ne leur a ouvert la porte. Encore une fois.

A la fin du mois de juillet 2022, à la lecture de ces éléments, le rapport de la Crip était sur le point d’être finalisé et devait être transmis au parquet. Le 3 août, la vie de Clothilde s’arrêtait.

« Il ne faut pas qu’il y ait d’autres drames comme celui de cette jeune femme. Des alertes ont été lancées. Derrière, il faut agir et faire ouvrir ces portes fermées. Tant pis si on se trompe, s’il n’y a finalement pas de danger ou de gravité. Mais si on peut sauver une vie, il vaut mieux prendre le risque de se tromper », plaide un professionnel de santé.

L’article est non ironique, tous ces organismes sociaux voulaient vraiment sauver une pondeuse à négrillons convertie au djihad démographique. Vive les impôts.

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