Captain
Démocratie Participative
08 mars 2019
OY GOY !
BAR MITZVAH !!!
Vous vous rappelez des swastikas bouddhistes sur la tête de l’adoratrice de Moloch, la youpine Veil ?
En réponse, les juifs, insultés pour avoir été ramenés à leur juste mesure de crapauds immondes, avaient exigé un « Prix Simone Veil » pour que la plèbe goye vénéra les youpins encore plus qu’en temps normal.
Superbe idée! https://t.co/a0S4neqsFn
— Anne Sinclair (@anne_sinclair) 12 février 2019
Et pour Macron, zélé serviteur de la bête hébraïque, un désir est un ordre.
« Je vous annonce que le Président crée le #PrixSimoneVeil de la République française qu’il remettra à l’ @Elysee le #8mars pour soutenir concrètement des initiatives mondiales pour les droits des femmes. » pic.twitter.com/59qkHcVneQ
— ?? MarleneSchiappa (@MarleneSchiappa) 5 mars 2019
A donc été annoncée la création d’un « prix » de la plus grosse traînée de l’année en l’honneur de la juive gazée à Auschwitz et miraculeusement ressuscitée.
Simone Veil donc.
NB : si vous l’ignorez, Simone Veil a été officiellement gazée à Auschwitz. Après avoir été transformé en savon, elle est revenue en France avec un objectif : commettre un véritable génocide de bébés blancs pour un rendre un culte à Moloch, dieu d’Israël.
Aujourd’hui, en l’honneur de la journée juive des traînées – encore appelée « Journée Internationale des Femmes » en yiddish -, la juiverie a fait de l’affaire une nouvelle occasion de se livrer à son activité favorite : s’exhiber pour se faire adorer des masses sous hypnose.
Nous devons toutes et tous à notre manière, à notre échelle, être des enfants de Simon Veil. Nous nous devons d’être fidèles à sa mémoire et de continuer de porter son combat avec ténacité et sans concession. Pour enfin changer les règles du jeu.#8mars #InternationalWomensDay pic.twitter.com/8yZzQCczgf
— Laetitia Avia (@LaetitiaAvia) 8 mars 2019
C’est si vrai que la présidence ex-française, foyer de pestilence, a réussi à caler la grosse youtrasse infecte Horvilleur, « rabbin » de son état, sur la tribune pour y tenir le crachoir.
La camerounaise Aissa Doumara est récompensée pour son action contre les mariages forcés et les violences sexuelles faites aux femmes. Elle est la première lauréate du prix Simone Veil de la République française pour l’égalité femmes/hommes.#8mars #JourneeDeLaFemme #DirectAN pic.twitter.com/GMnt3hPgPg
— LCP (@LCP) 8 mars 2019
Les juifs sont à leur affaire : Macron les faire luire dans leur huile de friture, à feu intense. Ils se tordent de plaisir dans cette cuve à youtres où l’atmosphère s’épaissit des remugles de vieux vagins ashkénazes fermentés qui s’y entassent, muqueuses acides. Les batraciens glaireux de la youpinerie glissent et puent, assemblés en plein Elysée pour copuler ignoblement à la vue des Aryens assommés.
Les vieilles peaux grisâtres du ghetto, tirant par instant à l’orange sous les spot-light, s’entassent et convulsent avant de finalement cracher le fruit pourri de leurs entrailles au son de leurs rires de hyènes aux dents jaunâtres. Vieilles youdis repeintes, survenues jusqu’à nous depuis leur naufrage polonais, roumain, grec, marocain.
Le fruit du miracle : une négresse en forme de pomme de terre.
Une patate d’Afrique.
Aissa Doumara se bat contre les mariages précoces et forcés des filles. Le Président lui a remis ce #8mars le Prix Simone Veil de la République française pour l’égalité femmes – hommes. pic.twitter.com/8yekHNTttd
— Élysée (@Elysee) 8 mars 2019
La France est plus qu’enjuivée : elle pue le juif.
Tout y sent le juif, intensément.
L’odeur colle à la peau comme celle des ordures à celle des éboueurs. La pourriture juive nous prend à la gorge, nous déchire le nez de sa crasse antique.
2007. Le jour, 18 novembre, où je remis à Simone Veil le Prix Scopus de l’Université Hébraïque de Jérusalem. Sur mon site, cet hommage que j’eus le grand honneur de prononcer face à elle : https://t.co/PWkC3M7MWO #Pantheon pic.twitter.com/7o1UNJIXRH
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 29 juin 2018
Le juif, meurtrier, pue.
Et le youtre nous demande, avec solennité, de nous repaître de ses chiures.