Moix se livre à une techouva exceptionnelle de servilité chez Ruquier, supplie « l’humanité juive » de pardonner « à la bête » qu’il est

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 septembre 2019

 

Vous avez tous eu vent de cette « polémique » impliquant Yann Moix, antisémite et révisionniste convaincu s’étant reconverti en shabbat goy il y a quelques années pour de strictes raisons professionnelles.

Pour faire court, Moix a très tôt participé à la production d’œuvres antisémites comme en avait parlé Alain Soral dès 2012.

Moix était proche de Paul-Eric Blanrue, révisionniste bien connu de nos milieux auquel on doit le documentaire « Un homme » sur Robert Faurisson.

D’ailleurs, même Hervé Ryssen a serré la main de Moix avant qu’il ne passe avec armes et bagages à l’ennemi.

Moix l’antisémite n’a pas changé : il pense toujours la même chose des juifs comme du mythe de l’holocauste.

Mais c’est parce qu’il pense la même chose des juifs qu’il a décidé d’en faire usage à son profit en disant aux juifs et des juifs ce qu’ils attendent d’un shabbat goy. Avec pour conséquence de recevoir des prix littéraires, de l’espace médiatique, etc..

Ces révélations sur son engagement révisionniste – qui n’était en fait un secret pour personne ou presque – ont finalement été publiées pour des raisons qui restent à établir.

Désormais, Moix doit donc déminer.

Il n’est pas resté inactif et a fait exactement ce que les juifs attendent de leur domestique : ramper en suppliant la synagogue de pardonner « à la bête » qu’il est son manque de déférence à l’endroit de (((l’humanité))).

Vous pouvez écouter, c’est exactement ces mots qu’il utilise.

Il faut bien admettre que Dieudonné avait assez bien décrit ce type d’exercice.

Moix ne risque rien. Son passé d’antisémite en fait un excellent atout pour la juiverie. Un peu comme ces anciens « skinheads » qui deviennent des Mickeys des organisations juives et qu’on voit une fois l’année à la télévision.

Tous les régimes judéo-communistes ont besoin de repentis pour les besoins de leur propagande. C’est aussi ce que recherchent les tribunaux pour les crimes idéologiques : des confessions complètes, des excuses et une supplique pour être réintégré par le système.

Des aveux valent toujours plus qu’une accusation.

On peut être formel : la carrière de Moix va encore progresser.