Capitaine Harlock
Démocratie Participative
23 janvier 2018
Lecture du « Dernier jour d’un condamné » à Calais.
« Avec les Juifs c’est tout sirop… tout manigances …insinuances… gonzesseries… cancans, frotti-frotta… boomerang, harach-loucoums… On sait plus ce qu’on prend dans la bouche, si c’est une bite ou une chandelle… C’est une franc-maçonnerie dans l’autre … » (Bagatelles pour un massacre, Louis-Ferdinand)
Moix réitère, persiste. Evidemment.
Il chie son enjuivement par la bouche.
Yann Moix : « Il y a, parmi les afghans de #Calais, des gens qui connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts, ils arrivent en France et on les frappe! » #migrants #le79Inter pic.twitter.com/GcfdEiFNg1
— France Inter (@franceinter) 23 janvier 2018
Avec les juifs, le bobard c’est comme une action en bourse, ça a un potentiel d’inflation illimité. Il suffit de laisser faire, de laisser les rabbins triturer suffisamment longtemps, d’attendre qu’ils se soient engueulés jusqu’à l’épuisement sur la meilleure façon de piller le goy. Et ça gonfle. Le juifisme, c’est la levure des démocraties bancaires.
Alors pourquoi pas cette histoire d’Afghans récitant du Victor Hugo entre deux incendies, deux rixes, deux viols ?
Moix a compris, il a étudié. Il a vu le style. Converti et repenti.