Moix l’enjuivé tonitrue : « Les afghans de Calais connaissent Hugo sur le bout des doigts »

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
23 janvier 2018

 

Lecture du « Dernier jour d’un condamné » à Calais.

« Avec les Juifs c’est tout sirop… tout manigances …insinuances… gonzesseries… cancans, frotti-frotta… boomerang, harach-loucoums… On sait plus ce qu’on prend dans la bouche, si c’est une bite ou une chandelle… C’est une franc-maçonnerie dans l’autre … » (Bagatelles pour un massacre, Louis-Ferdinand)

Moix réitère, persiste. Evidemment.

Il chie son enjuivement par la bouche.


Avec les juifs, le bobard c’est comme une action en bourse, ça a un potentiel d’inflation illimité. Il suffit de laisser faire, de laisser les rabbins triturer suffisamment longtemps, d’attendre qu’ils se soient engueulés jusqu’à l’épuisement sur la meilleure façon de piller le goy. Et ça gonfle. Le juifisme, c’est la levure des démocraties bancaires.

Alors pourquoi pas cette histoire d’Afghans récitant du Victor Hugo entre deux incendies, deux rixes, deux viols ?

Moix a compris, il a étudié. Il a vu le style. Converti et repenti.