La Rédaction
Démocratie Participative
25 juillet 2024
ATTENTION : Ceci est désormais une édition dédiée à la dénonciation des agissements terroristes de l’hôtellerie-restauration
Saidou Diao, entouré des escrocs Cyril et Maryse Lalanne, gérants du bouiboui La Monnaie à Figeac, aux côtés de Mariff Delpeuch et Jean-Luc Morestin, boomers d’extrême-gauche affiliés à la Cimade Figeac. Ensemble, ils ont juré tout de repeupler le pays de noirs musulmans pour permettre aux retraités de bouffer à prix cassés avec vos impôts.
L’alliance des Thénardier de l’hôtellerie-restauration, de l’ultra-gauche et des envahisseurs allogènes ne prend aucun repos.
À Figeac, le couple de truands qui gère la cantine à boomers La Monnaie (!) est déchaîné contre la loi et l’ordre et exige de pouvoir exploiter à outrance des sénégalais.
Actu.fr :
Saidou Diao, originaire du Sénégal, fait l’objet d’une procédure d’éloignement fixée au 15 août 2024. Installé à Figeac, ses employeurs et la Cimade le soutiennent et demande à la préfecture du Lot de revenir sur cette décision de l’expulser du territoire français. Un rassemblement de soutien est organisé ce jeudi 25 juillet devant la sous-préfecture de Figeac.
Saidou Diao, 38 ans, a quitté son pays pour des raisons privées, qui rendaient sa vie là-bas impossible. Aucune voie légale pour immigrer n’a été possible. Il est donc entré illégalement en France le 15 octobre 2021. Ce dernier fait l’objet d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français). Son souhait est de rester vivre et de travailler en France.
Et c’est ce qu’il fait. Le 16 janvier 2023, il est embauché par Cyril et Maryse Lalanne, gérants du restaurant La Monnaie à Figeac, sensibles à la situation de Saidou. « Depuis un an et demi, il travaille pour nous, au début pour des remplacements. Il a toujours été déclaré comme n’importe quelle autre personne. Saidou bénéficie de l’AME (aide médicale d’État), ce qui lui a donné un numéro de sécurité sociale. En parallèle, on travaille sur le dépôt d’un dossier de demande de régularisation par le travail. Ses fiches de salaires ne sont pas factices. »
Article L8256-2 du code du travail :
Le fait pour toute personne, directement ou par personne interposée, d’embaucher, de conserver à son service ou d’employer pour quelque durée que ce soit un étranger non muni du titre l’autorisant à exercer une activité salariée en France, en méconnaissance de l’article L. 8251-1, est puni d’un emprisonnement de cinq ans et d’une amende de 30 000 euros.
Non seulement les deux escrocs devraient être en garde-à-vue à l’heure qu’il est, mais leur restaurant devrait déjà être fermé sur décision préfectorale.
Le restaurant La Monnaie, aux mains du couple de bandits Lalanne, exploite les migrants clandestins à outrance pour remplir ses caisses. Le peuple, excédé, exige une juste répression des délinquants en cuisine !
Au lieu de cela, les deux ordures étalent leurs ignobles gueules dans la presse de gauche, sûres de leur totale impunité.
Sur cette situation, Mariff Delpeuch, bénévole à la Cimade Figeac, ajoute que « l’employeur a décidé de ne pas respecter un seul point du code du travail et de suivre tous les autres, en passant par-dessus l’absence d’autorisation de travailler de Saidou. Pour le reste, il a tout fait dans les règles… Par contre, son absence de papiers l’empêche d’avoir maintenant la sécurité sociale, même s’il cotise. Il ne pourra pas non plus avoir droit au chômage même s’il cotise. Seule la régularisation lui permettrait de retrouver tous ces droits ».
Mais Saidou Diao a reçu une assignation à résidence suite à une convocation à la gendarmerie, en tant que victime dans un accrochage avec une voiture conduite par un chauffard. Le 12 juillet, on lui signifie son expulsion, avec une mesure d’éloignement pour le 15 août.
Jean-Luc Morestin, de la Cimade Figeac, témoigne. « C’est la première fois dans le Figeacois qu’une personne reçoit une mesure d’éloignement. Saidou était sur le point de demander avec son patron une régularisation par le travail. Le dossier était presque prêt… Il n’y a aucune moralité dans les politiques migratoires. Le fait que les employeurs se mobilisent, c’est très remarquable. Ils prennent même des risques. »
Saidou a le soutien sans faille des gérants du restaurant de La Monnaie, qui ne comprennent pas cette situation jugée « ubuesque ». « Saidou est expulsé juste avant qu’on puisse déposer son dossier de demande de régularisation par le travail. Ce doit être fait le plus vite possible. Mais on a rendez-vous seulement le 6 septembre… Il a un appartement, paie son loyer en bonne et due forme. Il est autonome. L’État français n’a rien à lui reprocher. Il est bien intégré, exemplaire au travail et dans la vie. Ce n’est pas un délinquant. »
Une mobilisation de soutien à Saidou est organisée à l’initiative de la Cimade. Un rassemblement citoyen est prévu ce jeudi 25 juillet à 16 h 45 devant la sous-préfecture de Figeac, place Vival, peu avant la demande d’audience obtenue auprès de la sous-préfète, sollicitée pour appuyer l’annulation de cette mesure d’expulsion auprès de la préfecture.
Nous ne pouvons pas rester passifs face à ces bandits.
En premier lieu, puisque cet établissement viole la loi ouvertement et le revendique, chaque citoyen peut appeler ce restaurant pour faire savoir à ses gérants ce qu’il pense de ces pratiques illégales (n’oubliez que les VPN sont vos amis).
Téléphone : (33) 05 65 50 29 55
[email protected]
Ensuite, commentez leur Trip Advisor !
Enfin, dans la foulée, faites savoir à la préfecture du Lot que si quelques vieillards d’extrême-gauche se mobilisent, nous sommes bien plus nombreux à vouloir voir cet immigré clandestin repartir dans son pays d’origine pour ne plus jamais mettre les pieds sous nos latitudes.
Adoptez un ton courtois, mais ferme et faites savoir aux autorités préfectorales de ce département que :
- nous exigeons des autorités la pleine application de la loi et l’expulsion du clandestin Saidou Diao du territoire national !
- nous exigeons des autorités des poursuites contre Cyril et Maryse Lalanne pour la violation de l’article L8256-2 du Code du travail !
Nous POUVONS faire la différence.