Captain Harlock
Démocratie Participative
16 avril 2021
Des nouvelles de Madama Diawara, notre berger malien de Haute-Loire défendu par un réseau de Boomeuses radicalisées.
Si vous ne connaissez pas l’histoire de Madama, vous pouvez lire nos articles sur cette affaire ici et ici.
Le journaliste juif Max Blumenthal était présent au Puy-en-Velay il y a quelques semaines pour couvrir un rassemblement de vieilles gauchistes en faveur de Madama Diawara dont on ne saurait trop souligner à quel point il respire l’intelligence propre au peuple malien.
Madama Diawara est en effet entré clandestinement en France et a trafiqué ses papiers à de multiples reprises. Sous le coup d’une très théorique expulsion, Madama, le berger fictif de la Loire, a fini par s’évaporer dans la nature.
Le couple de Boomeurs qui cherche à le maintenir en France a mis en scène une « disparition », arnaque relayée par la presse française.
Un jeune Malien expulsable, et assigné à résidence, a disparu, a indiqué jeudi sa famille d’accueil, en marge d’un rassemblement de son comité de soutien organisé au Puy-en-Velay.
La famille d’accueil de Madama Diawara, 19 ans, a déclaré à l’AFP avoir effectué, lundi, une «déclaration de disparition à la gendarmerie, où il doit pointer quotidiennement, du lundi au jeudi», dans le cadre d’une assignation à résidence. La préfecture de Haute-Loire indique dans un communiqué que, n’ayant pas respecté cette obligation, «il devient désormais passible de sanctions pénales (…), soit un an d’emprisonnement».
Mardi, le tribunal administratif de Clermont-Ferrand avait rejeté plusieurs requêtes en annulation du Malien et confirmé l’Obligation de quitter le territoire français (OQTF) prise à son encontre, ainsi que son assignation à résidence et son interdiction de revenir en France pendant une durée de deux ans. Sa famille d’accueil a exprimé jeudi son intention de faire appel de cette décision.
Le tribunal ne s’est en revanche pas prononcé sur le refus de délivrance d’un titre de séjour par la préfecture, renvoyant cette décision à un autre tribunal, à une date non encore fixée. «Madama était terrifié à l’idée d’être expulsé. On n’a plus de contact avec lui, il ne répond pas à nos appels», a indiqué Véronique de Marconnay, une enseignante qui abrite le Malien depuis plus de deux ans dans la région du Puy-en-Velay. Son compagnon, Eric Durupt, a dénoncé un «gâchis humain», ainsi que «la violence de la politique migratoire», dans une déclaration lue devant un rassemblement en soutien au Malien qui a réuni une centaine de personnes devant la préfecture, selon les organisateurs (une soixantaine d’après la police).
Eric Durupt a émis de sérieux doutes quant à la possibilité du jeune homme de «se réinsérer au Mali, avec ses troubles cognitifs». Accueilli en décembre 2018 par le couple après avoir traversé la Méditerranée puis les Alpes jusqu’à Briançon (Hautes-Alpes), le jeune homme a été scolarisé puis a effectué un premier stage chez un couple d’éleveurs qui lui a proposé un contrat d’apprentissage. La préfecture de Haute-Loire refuse de lui délivrer un titre de séjour, mettant en doute l’authenticité de son acte de naissance.
Vous avez bien lu ces deux ordures : ce nègre demeuré est trop atteint pour être d’une quelconque utilité au Mali, moyennant quoi, c’est à la France de passer à la caisse et d’absorber sa génétique pétée.
Je vous présente la vieille prof de gauche Véronique de Marconnay et son soixante-huitard de mec, occupés à menacer les autorités au pied de la préfecture.
Je peux vous garantir que ce nègre idiot n’a pas « disparu ». La vieille l’a fait planquer dans la région avec l’aide de son réseau marxiste local avant de se couvrir légalement en faisant une fausse déclaration de disparition.
C’est vu et revu.
La Gendarmerie le sait parfaitement et ne mettrait théoriquement que très peu de temps pour retrouver ce sale nègre.
Mobilisation
Democratie Participative lance une mobilisation inédite. Nous offrirons 1,000 euros de récompense à toute personne qui nous transmettra un renseignement menant à la capture du clandestin malien recherché Madama Diawara. L’affichage immédiat du profil du fugitif est requis.
Imprimez, affichez ce visuel sur les murs de Haute-Loire !
Véritable pendant de l’activisme anarcho-communiste, cette initiative citoyenne s’inscrit dans le cadre de l’opération « Charter du cœur ».
Le couple de bandits rouges qui couvre actuellement la fuite de l’infiltré malien doit être interpelé et placé en détention. Un interrogatoire serré devrait permettre de mettre à jour un vaste réseau de passeurs dans toute la Haute-Loire et au probablement au delà.
Ne soyons plus passifs, devenons les acteurs de notre propre destin (Arno Klarsfeld).