La rédaction
Démocratie Participative
04 août 2022
J’ai laissé de côté mon morceau de poulet – j’essaie de m’adapter au futur – pour rapporter cette nouvelle d’une importance cruciale.
La mulâtresse américaine dépourvue de seins par ailleurs gouine Brittney Griner a pris 9 ans de goulag en Russie.
Au programme, participation exaltante à l’édification de l’amitié sino-russe dans le domaine énergétique, pour la paix et la fraternité humaine, en creusant la toundra gelée à la pioche.
[ 🇺🇸 ÉTATS-UNIS | 🇷🇺 RUSSIE ]
🔸 Retenue en Russie depuis février, la basketteuse Brittney Griner est condamnée à 9 ans de prison pour trafic de cannabis. Elle avait amené sur le territoire russe une petite quantité de liquide de vapoteuse à base de cannabis. pic.twitter.com/frC0OYRFaq
— (Little) Think Tank (@L_ThinkTank) August 4, 2022
On ne peut jamais vraiment éloigner un noir d’un joint.
Brittney Grinder représente toutes nos valeurs – au sens le plus littéral du mot.
Si vous ne voulez pas faire la guerre pour Brittney, vous n’êtes pas un Français.
Vous êtes un traître.
Poutine est un homophobe brutal et un haineux, un ennemi de l’humanité.
Tous les shitteux de Fronsse (50% du pays) sont choqués, mais regardez un peu comment les Russes dressent les nègres, comment ils les remettent à leur place, leur apprennent l’humilité.
🔴 La star américaine du basket Brittney Griner, a été condamnée en Russie à 9 ans de prison après son arrestation avec une vapoteuse contenant du liquide de cannabis.
« J’espère que le jugement ne mettra pas fin à ma vie ici », avait-elle exhorté: https://t.co/qbwsgAJ4MR pic.twitter.com/RKdMES2pjV— LN24 (@LesNews24) August 4, 2022
Et la Russie serait l’empire du mal ?
En tant que poutiniste hardcore, j’envie cette africaine qui utilise ses bras pour faire du football.
Je voudrais découvrir les immensités de la Russie, le dernier pays blanc qui tienne debout face à l’empire juif mondial.
Je voudrais aussi découvrir les Alpes bavaroises.
Dans une autre vie, peut-être.
Je me contenterais d’une sauvage guerre raciale, rue par rue, maison par maison.
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