Miss France 2020 : passons en revue les nanas qu’on nous propose cette année

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 novembre 2019

 

Le concours Miss France 2020 a commencé. Le concours est partiellement français, racialement parlant, mais c’est l’occasion de mesurer l’étendue des dégâts et aussi de promouvoir la beauté aryenne.

Si l’on retranche ces maudits DOMTOM, nous avons un millésime très blanc, ce qui m’a surpris et même choqué.

J’ai été choqué de voir autant de Françaises dans un espace aussi restreint.

Voici la revue.

La première, c’est Miss Côtes d’Azur. « Manelle Souahlia ». A priori c’est une métisse d’algérienne, quelque chose de cet ordre-là.

Je ne mets pas de note.

Le deuxième pour Miss Poitou Charentes, c’est Andrea Galland. Un nom très français.

La mâchoire cependant est un très gros handicap, soyons franc.

6,5/10

Miss Provence avec Lou Ruat.

Elle est mignonne avec un vrai plus sur la couleur des yeux.

7,5/10

Miss Rhône-Alpes, Chloé Prost.

Mignonne mais elle fait un peu banale.

7/10

Miss Aquitaine, Justine Delmas.

Assez blanche de peau mais gros bémol sur les cheveux. Belle posture tout de même.

7/10

Miss Bretagne. Romane Edern.

J’ai une théorie sur les Bretonnes et elle se confirme avec le temps.

5,5/10

La suivante, Miss Auvergne.

C’est clairement une métisse de ne je ne sais pas quoi. Regardez sur Google Images.

Et en plus cette photo est ultra travaillée pour la rendre moins disgracieuse possible.

Je ne note pas.

Miss Pays de la Loire.

Yvana Cartaud. Mignonne, certes, mais sans relief.

7/10.

Miss Midi Pyrénées, Andrea Malgahaes.

Une portugaise.

Alors oui vite fait en passant, elle a l’air rafraichissante.

Mais la structure faciale du crâne, notamment l’étalement des pommettes, me laisse très septique. J’ai des questions et j’aimerais avoir accès à l’étude complète de son ADN.

Je m’abstiens.

Miss Limousin, Alison Salapic.

On est sur les Balkans, serbo-croate. Très belle couleur des yeux hélas le sourire n’est pas au rendez-vous.

6,5/10

Miss Corse, Alixia Cauro.

Beaux cheveux, assez altière, mais le nez et le sourire pèchent.

6,5/10

Miss Normandie, Marine Clautour.

Dans une France ravagée par la mulatrisation, je trouve qu’elle tranche. Elle est belle, gauloise avec une touche de sang nordique.

Attention cependant, cette photo est très avantageuse. En vrai, elle est moins belle comme on peut le voir sur Google Images. Dommage car si elle était comme ça en toutes circonstances, elle serait vraiment canon.

7,5/10

Miss Alsace, Laura Theodori.

Souche italienne.

Beaux cheveux mais le visage, ça ne va pas.

6,5/10

Miss Franche Comté, Solène Bernardin.

Ok mais sans plus.

6,5/10

Miss Centre Val de Loire, Jade Simon-Abadie.

Hélas, un accent masculin et une mâchoire qui fait quand même un peu sorcière.

6,5/10

Miss Champagne-Ardennes, Lucille Moine.

Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression d’une tenancière de bistro qui veut me veut me servir un kir tiède.

6/10

Miss Lorraine, Ilona Robelin.

Elle est assez belle mais elle a un petit quelque chose de fade.

7/10

Miss Languedoc-Roussillon, Lucie Caussanel.

Assez charmante mais la frange, c’est du terrorisme.

7/10

Miss Nord-Pas-de-Calais, Florentine Sommers.

Elle ressort nettement, un style de coiffure qui met en valeur son port de tête. Combinaison agréable entre la couleur des cheveux et des yeux.

Bémol, la mâchoire un peu courte qui contraint le sourire.

7,5/10

Miss Picardie, Morgane Fragon.

C’est quoi leur problème en Picardie ?

Remballez le tout et réexpédiez ça dans son bled d’origine.

Aucune note.

Miss Bourgogne, Sophia Diry.

Mon nez est en alerte. Je sens des influences d’Afrique du Nord. De l’algérienne. Les dents, les yeux, la bouille, le teint, tout cela est louche.

En plus, elle apparaît comme surnotée partout, ce qui me fait dire qu’il y a anguille sous roche.

Il faut la regarder sous tous les angles sur Google Images.

Je reste sur mon impression et refuse de voter.

Tout le reste, ce sont les DOMTOM.

Je vais rester sur la rouquine normande, valeur racialement sûre pour le moment.

Ce qui bien avec ce concours, c’est que les femmes sont à leur place. Ce sont de beaux objets à regarder.

C’est quand elles se mettent à parler que ça se complique.