Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 février 2018
Si l’actuel communiste à la tête du Vatican se démène pour détruire le catholicisme, la youpinerie qu’il courtise sait l’aider dans sa tâche.
Sur Europe 1, c’est à un véritable spectacle infernal que nous avons pu assister : les youtres Einthoven et Cohen se livrant, avec la vulgarité coutumière de leur race, à une débauche d’attaques contre le dernier miracle reconnu à Lourdes.
70ème miracle reconnu à #Lourdes : pour @Enthoven_R « on prend vraiment les gens pour des imbéciles »#E1Matin pic.twitter.com/YDH8FZ6Zsc
— Europe 1 (@Europe1) 13 février 2018
Je ne demanderai à personne de croire aux miracles en général ni à celui-ci en particulier. D’ailleurs, la soeur en question ne le demande pas davantage.
Mais dès qu’un soupçon de spiritualité chrétienne semble traverser le corps français, on retrouve le kahal puant en première ligne pour dévoiler son propre fond fait du fiel de la synagogue.
Le youpin Einthoven qui baisait la putain de son propre père, Carla Bruni.
C’est ce ramassis puant et puceux qui ose parler dans la France enjuivée et démocratique de 2018.
Il est une règle depuis la venue du Christ : quiconque combat le juif doit se préparer à une lutte à mort, à une lutte contre la puissance qui gouverne ce monde, le Diable et ses changeurs.
Quelqu’un peut ne pas croire, mais quelqu’un ne peut nier que le Christ a combattu le juif et l’esprit juif de la manière la plus éclatante, exposant la juiverie pour ce qu’elle est et n’a jamais cessé d’être. Quand il s’est agit de faire assassiner le Christ, cette race a recouru au tribunal des goyim pour parvenir à leur fins et se présenter comme immaculés à la plèbe fanatisée qui s’agitait au pied de Ponce Pilate.
Si le Christ est Dieu, les hommes ne le sont pas par évidence et son conseil, à la veille de sa mise à mort, fut limpide : « Maintenant, au contraire, que celui qui a une bourse la prenne et que celui qui a un sac le prenne également, que celui qui n’a point d’épée vende son vêtement et achète une épée. » (Saint Luc 22:36).
La lutte contre les juifs et leurs esclaves est le point cardinal de toute politique. C’est la question la plus complexe et la moins accessible au peuple tant elle nécessite une profondeur de vue historique, politique, idéologique et, en plus de l’instinct nécessaire, l’éveil spirituel indispensable pour saisir l’enjeu dans toute son ampleur.
Dans le chaos de faits et d’événements qui nous entourent, discerner la main du juif est la chose la plus ardue car le juif sait se dissimuler et frapper dans le dos grâce à des comparses qu’il stipendie, à l’image de Judas. Le juif n’est pas tant l’être omnipotent que l’esprit satanique qui influence et pousse à la mort.
Le juif est le détrousseur de cadavres, l’incarnation ignoble du meurtre et de la malédiction. Aucun être humain ne peut voisiner avec un juif sans sentir le malaise glaçant et l’arrière-goût du charnier.
L’esprit de l’Occident chrétien d’antan a été remplacé par l’idole païenne et grimaçante de l’esprit satanique juif et de sa contrefaçon de la Crucifixion qu’est l’égrégore obscène de l’holocauste.
Cette bataille là, spirituelle, est bien plus cruciale que les épiphénomènes que nous observons. Le juif s’est établi au coeur des esprits aryens. Il est le vampire logé dans nos âmes, l’empoisonneur des coeurs : l’ouvrier du Démon.
Pour exorciser l’Europe, il faut nommer Satan par son nom : le juif.
Alors, les puissances de la terre se réveillent et tentent d’abattre celui qui désigne le loup-cervier qui veut nous assassiner.
Mais le règne du juif approche de sa fin : il ne se passera pas vingt ans avant que sa chute ne se soit déroulée en Occident.
« Et tout le peuple répondit: Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! »
Saint Matthieu 27:25