On en avait entendu parler mais l’on n’osait jusqu’à là y croire. Il se trouverait donc des nègres conscients du fait que leur place dans les pays blancs soit contre nature ?
Voici ce que rapporte l’Express :
Cinq étudiants noirs en année préparatoire avaient trouvé fin septembre des injures racistes sur leur porte. L’un d’eux avait posté sur Facebook une photo d’une ardoise blanche sur laquelle était inscrite: « Rentre chez toi, le Nègre ». Des parents avaient alors alerté le corps enseignant.
Jusque là , une scène qui devrait être la norme dans un pays blanc pollué de millions de cafres. Voyons voir la suite :
« Nous pouvons confirmer que l’un des étudiants en année préparatoire qui avaient été prétendument visés par des insultes racistes à l’extérieur de leur chambre, était l’auteur de cet acte », a indiqué le lieutenant-colonel Allen Herritage. Le jeune homme « a avoué et l’enquête l’a prouvé », a ajouté le porte-parole de cette école, qui forme les futurs officiers de l’armée de l’Air américaine. L’élève-officier a été renvoyé.
Bon, du coup on a peut-etre été un peu vite en besogne. Le nègre en question n’a probablement aucune envie d’arrêter de polluer les américains par sa présence. Il a juste voulu, en bon gros incapable congénital, obtenir une qualification professionnelle en raison d’une prétendue souffrance impliquée par le racisme (LOL). Comme l’a expliqué le prix Nobel de médecine 1913 Charles Richet en préambule de son ouvrage L’homme stupide, le nègre est à ce point éloigné de l’humanité qu’il ne remplit même pas les pré-requis pour être considéré stupide. Il ne pouvait donc être que démasqué.
Ne pas assimiler que le nègre est une brute de 12 à 13 ans d’age mental ne peut mener qu’à de grâves déconvenues. Cet éternel attardé n’aurait pas eu l’audace de cette stupide entreprise s’il s’était trouvé quelque démocrate participatif pour lui rappeler sa place de bien meuble dont l’apothéose se trouve être le porte-document.
Il est important de comprendre que ça n’est pas parce qu’il y aurait d’hypothétiques manifestations de racisme dans la société américaine que ce nègre a pu tenter sa chance à la bourse des lamentations. Au contraire, le manque de conscience raciale chez les blancs autorise le sauvage à se penser percepteur d’une dette imaginaire qu’auraient les blancs envers lui.
Remettre le nègre à sa place, c’est à dire en Afrique, c’est faire montre de charité à son encontre en lui épargnant la mauvaise publicité qu’il peut donner de sa race dans les pays touchés par la civilisation.