Mions (Rhône) : l’espion juif qui servait de maire à la commune s’enfuit

La rédaction
Démocratie Participative
21 avril 2024

Je n’ai jamais entendu parler de cette commune. Apparemment, elle était contrôlée par un juif.

BFMTV :

Une « grande émotion » s’est emparée, ce samedi 20 avril, de Claude Cohen, le maire (LR) de Mions (Rhône), lorsqu’il a annoncé sur Facebook avoir envoyé à la préfète de la région Auvergne-Rhône-Alpes sa lettre de démission.

« Mon engagement a été total et sincère avec l’ensemble des élus compétents et dévoués », a-t-il écrit sur le réseau social, soulignant toute sa « gratitude » à ses concitoyens pour l’avoir élu en 2014 et en 2020.

Le juif Claude Cohen affirme beaucoup souffrir

Auprès de BFM Lyon, il explique que trois points l’ont poussé à démissionner. La lourdeur administrative d’abord. Le sujet des logements sociaux, ensuite, à savoir que l’élu a été épinglé par la préfecture en raison du manque de ce type d’habitation dans sa ville. Et les attaques antisémites, enfin, qu’il affirme recevoir « sur les réseaux sociaux » en continu. « J’ai déposé plaintes plusieurs fois pour des insultes antisémites… Je ne fais que subir les conséquences du 7 octobre« , indique-t-il.

C’est drôle comme le 7 octobre semble être définitivement entré dans le calendrier de ces juifs.

Personnellement, je ne crois pas que le Hamas soit directement lié aux affaires de la commune de Mions.

Invité de BFMTV samedi 20 avril en début de soirée, le maire de la commune a déclaré avoir été la cible de propos antisémites « le jour même » où il a été élu à la tête de la municipalité de Mions.

« J’ai régulièrement des Miolands qui me traitent de « sale juif », donc au bout d’un moment je veux bien tout accepter mais je me suis fait élire pour servir ma ville et mon pays. Je ne me suis pas servi de mon identité de juif pour me faire élire (…) », a poursuivi Claude Cohen.

« Sale juif » n’est pas une insulte, mais une description ceci dit.

« J’ai à côté de moi cinq dossiers de plainte. J’ai arrêté de déposer plainte parce que la gendarmerie a autre chose à faire sinon je passerais une journée par semaine à la gendarmerie », a par ailleurs expliqué le maire sortant de Mions.

Si Claude Cohen disait regretter qu’après ses plaintes, « pas une fois madame la préfète n’est venue [le] soutenir », le cabinet de la préfète de la région Rhône-Alpes a précisé auprès de BFMTV que le maire de Mions n’a pas déposé de plainte pour des insultes antisémites et que la préfète aurait évidemment été à ses côtés si tel avait été le cas.

Le juif a donc menti à propos de ces plaintes pour « antisémitisme » et utilise la carte de la victimisation pour se dérober. C’est bien la première fois qu’un juif fait ça.

Si ce juif se défausse, c’est plus sûrement parce qu’il y a des dossiers inavouables de corruption dans l’air et qu’il prépare activement son départ pour la Palestine occupée. Vraisemblablement avec beaucoup d’argent volé à des goyim.

Quand on voit sa tête, on sait qu’il vaut mieux vérifier qu’on a sa montre après lui avoir serré la main.

Je dis ça, mais personne de censé ne sert jamais la main d’un juif.

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