Mila resurgit dans les médias pour se plaindre des musulmans

La rédaction
Démocratie Participative
08 avril 2024

 

BFM a décidé de remettre Mila en avant.

Elle s’est plainte de la police islamique qui l’empêchait de s’exhiber avec une lesbienne quand elle était au lycée.

Cette nana est le produit final d’un siècle de féminisme.

Les femmes blanches ont d’abord voulu fumer, puis voter, ensuite porter des minijupes, enfin avorter. Ce qui les a amenées à finir dans un pays sans enfants, progressivement repeuplé par des musulmans qui entendent bien leur interdire de fumer, de voter, de porter des minijupes et d’avorter.

La situation est vraiment simple.

Des lesbiennes tatouées qui compensent l’absence de phallus en faisant de la musculation n’ont aucune solution au problème dont elles participent.

Rager sur le fait que les musulmans sont musulmans ne changera rien aux causes fondamentales du problème qui se trouvent non pas chez les allogènes, mais chez les Blancs.

La cause de l’islamisation est à rechercher dans la perte de vitalité démographique indigène. La racine de cette perte de vitalité se trouve dans la reconfiguration de la société en société féministe. Si on place les femmes et leurs attentes au coeur de la société, on obtiendra une société adaptée aux injonctions de l’hypergamie féminine.

Les femmes veulent disposer de tous les filets de sécurité possibles pour pouvoir s’extraire à tout moment d’une relation avec un homme. Avortement, divorce, pension, aides sociales, tout a été conçu à cet effet.

L’abolition du contrôle masculin de la sexualité féminine est l’enjeu principal du féminisme. Sans cadre masculin autoritaire pour maîtriser l’hypergamie féminine, le résultat final est invariablement le même.

Si on ne veut pas de l’islamisation, on ne peut pas vouloir du féminisme. Mais si on fait cette critique du féminisme et que l’on appelle à rétablir le patriarcat blanc, les femmes blanches et leurs simps vous accusent immédiatement de vouloir la même chose que les salafistes.

Donc, aucune critique de fond n’est formulée, la situation objective reste la même, le nombre de musulmans augmente, et c’est le patriarcat islamique qui gagne du terrain.

Pourtant le patriarcat blanc est bien supérieur.

Nous n’irons nulle part en pleurant sur la laïcité. La laïcité est une valeur négative, elle ne crée rien en elle-même.

Créer une société qui garantisse un mari à une femme et une femme à un mari, ainsi que la famille à vie qui va avec, est la seule façon de résorber cet effondrement démographique, mais cela passe obligatoirement par la fin de la primauté de l’individualisme qui sert de terreau à l’acceptation du féminisme.

Culturellement, les Blancs sont devenus des consommateurs anarchistes, radicalement opposés à toute espèce de société d’ordre. C’est là que se situe le blocage, et c’est pour cela que toutes les solutions de facilité à court terme sont systématiquement privilégiées, comme l’immigration de masse pour payer les retraites des boomers.

La religion de l’avortement en est un bon thermomètre.

En définitive, soit on remet d’autorité les femmes au foyer pour faire des enfants, soit on accepte l’islamisation.

C’est l’un ou l’autre.

Le public blanc n’aime pas du tout voir cette réalité en face et préfère se victimiser en écoutant des lesbiennes comme Mila se plaindre des maghrébins.

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