Leutnant
Démocratie Participative
02 août 2020
Zubyr n’avait pas les codes culturels.
Les autorités avaient affirmé qu’il n’y avait aucune preuve qu’il était susceptible de récidiver… Elles se sont apparemment trompées. Un migrant afghan du nom de Zubyr S. avait été arrêté une première fois en juin, mais avait été libéré moins de deux semaines plus tard. Il était suspecté d’avoir violé une jeune fille de 11 ans en Allemagne. Selon les informations publiées par le Daily Wire vendredi 31 juillet, l’individu s’en serait pris cette fois à une fillette de 13 ans. Il l’aurait attiré dans un couloir pour la violer. Il est de nouveau derrière les barreaux pendant que les deux accusations de viols sont en train d’être étudiées. La seconde victime a donné une description très précise du migrant à la police allemande.
Cet Afghan de 23 ans, qui possédait un titre de séjour temporaire, avait déjà des antécédents concernant des affaires de stupéfiants et de fraudes. Mais il était considéré comme peu dangereux puisqu’il avait une adresse permanente et aucun antécédent d’abus sexuels, relate le Daily Wire. Le procureur Volker Schmerfeld-Tophof a notamment justifié sur la radio WDR : « Vous avez besoin d’une suspicion urgente et d’une raison pour garder quelqu’un emprisonné. »
Le ministre chargé des réfugiés et de l’intégration dans l’Etat de Rhénanie du Nord-Westphalie, Joachim Stamp, a demandé à ce que le suspect soit déporté s’il est coupable. « Ce criminel repoussant ne doit pas seulement être puni, mais aussi renvoyé en Afghanistan après son emprisonnement », a-t-il déclaré. D’autres politiciens ont appelé à ce que la loi soit plus stricte. Le but étant de pouvoir retenir plus facilement en garde à vue les suspects de viol lorsqu’ils sont examinés par les autorités. D’après les colonnes du Daily Wire, le parti anti-immigration AfD a jugé que l’affaire était un « scandale judiciaire » et a pointé du doigt la politique d’accueil des réfugiés d’Angela Merkel.
Il faudrait aussi que les politiciens repoussants qui organisent l’immigration soit non seulement punis mais aussi envoyés en Afghanistan après leur emprisonnement.