Captain Harlock
Démocratie Participative
19 juillet 2019
Du nouveau.
La paire d’ovaires occupée à repeupler l’Allemagne de djihadistes marron se solidarise d’autres paires d’ovaires occupées à repeupler l’Amérique de djihadistes marron.
La chancelière allemande a jugé vendredi avec une rare véhémence que Donald Trump avait porté atteinte à « la grandeur des États-Unis » avec ses propos attaquant des élues démocrates issues de l’immigration.
« Je veux fermement me distancier [de ces attaques] et je suis solidaire des femmes attaquées », a insisté lors de sa traditionnelle conférence de presse estivale Angela Merkel, qui entretient déjà des relations difficiles avec le président américain.
La chancelière a relevé que ce qui faisait la force des États-Unis c’est justement « que des gens de différentes nationalités constituent le peuple américain ».
Elle a finalement débranché son gode ?
Si c’est le cas, que quelqu’un le rebranche.
On ne parle pas de nationalités mais de race et de culture.
Et non, importer des djihadistes somaliens ne renforce aucun pays blanc. Que ce soit aux USA ou en Allemagne.
Ou en Suède où même des migrantes somaliennes préfèrent finalement retourner dans leur pays plutôt que de rester dans ce vibrant chaudron multiculturel qu’est la société suédoise.
Mais bon, Merkel reste fidèle à son programme : défendre les égorgeurs du tiers-monde qui colonisent l’Occident.
Cette vieille Boomeuse n’a pas pu résister à l’envie de se poser en mère protectrice de l’oumma.
Dès lors, les attaques de Trump contre quatre élues démocrates sont « quelque chose qui va à l’encontre de la grandeur de l’Amérique », un clin d’œil au slogan du président américain « Make America great again » (« Rendre sa grandeur à l’Amérique »).
La force des déclarations de la chancelière allemande tranche aussi avec sa retenue habituelle quant aux questions de politique intérieure dans d’autres pays. Mais le sujet du racisme est extrêmement sensible en Allemagne, qui se pose en modèle de tolérance du fait de son passé nazi, et interrogée sur le sujet, Mme Merkel se devait de prendre position d’autant que d’autres dirigeants européens l’ont fait cette semaine.
Lol.
Sous Merkel, les gamines se font écraser au poids lourd par des bougnoules.
Mais oui, les États-Unis devraient solliciter son expertise en matière d’immigration islamique.
Curieusement, toutes les traînées féministes du monde occidental se sont passées le mot pour se porter secours aux femelles islamo-communistes ciblées par Trump.
La première ministre britannique Theresa May avait dénoncé dès lundi des propos « totalement inacceptables », des critiques partagées par les deux conservateurs qui espèrent lui succéder, le chef de la diplomatie Jeremy Hunt et le favori, Boris Johnson, pourtant très apprécié du président américain.
La chef du gouvernement néo-zélandais, Jacinda Ardern a aussi étrillé les propos du président américain : « nous pensons que notre Parlement doit être un endroit représentatif […] il doit ressembler à la Nouvelle-Zélande, être constitué de toute une palette de cultures et d’ethnies différentes ».
Bien sûr, oui.
Sans oublier des petits poneys, des cœurs et même un grand arc-en-ciel tout autour de la terre.
Toutes ces politiciennes occidentales qui crachent si copieusement sur les mâles blancs dès lors qu’ils s’affirment sur leur territoire sont beaucoup réservées vis-à-vis des musulmans dominateurs.
Peut-être parce que dans la guerre raciale en cours, ces traînées espèrent pouvoir se tailler un statut en aidant les assassins marron à tuer un maximum d’hommes blancs.