Captain Harlock
Démocratie Participative
20 janvier 2019
« Nous voulons être violées par des nègres, c’est compliqué à piger ?! »
Bordel de dieu, il faudrait déployer aux frontières un bataillon de ces harpies sexagénaires en chaleur. Même le nègre hirsute le plus éloigné de la civilisation songerait à deux fois avant de pénétrer sur le territoire national.
Melun, 19 janvier. Une petite trentaine de militants d’associations comme la Ligue des Droits de l’Homme, le Secours Catholique, RESF, De loin en Loing Solidarité Jeunes Migrants, et des citoyens, ont voulu sensibiliser les passants via un flash-mob en centre-ville.
Une initiative du Collectif pour les droits des jeunes migrants qui a aussi lancé une pétition sur le site du Secours catholique.
Cette curaille va finir par me convaincre que les rouges avaient peut-être raison à son sujet.
La seule chose qui m’en empêche est le fait que ces mêmes rouges sont désormais cul et chemise avec la prêtraille pour nous napper de nègres jusqu’à l’infini.
Pas de musique, pas de slogan scandé haut et fort, car la manifestation n’était pas véritablement déclarée, mais le coeur y était. Ce samedi après-midi, une petite trentaine de personnes formant le Collectif pour le droit des jeunes Migrants (CDJM) ont improvisé une sorte de flash-mob en centre-ville de Melun pour attirer l’attention des passants, et surtout leur faire signer une pétition. En cause, les « droits bafoués » des jeunes migrants en Seine-et-Marne, selon ce collectif qui réunit la Ligue des Droits de l’Homme, le Secours Catholique, Réseau Education Sans Frontières, De Loin en Loing, Solidarités Jeunes Migrants, ainsi que des citoyens.
Melun.
J’ai relu deux fois le paragraphe pour être sûr. Mais oui, dans cette ville submergée des pires peuplades de la terre, un carré de vieilles Blanches dégueulasses exige de recevoir des bordées supplémentaires de négrillons.
« Pour les droits ».
Ce mot de « droit » devient chaque jour plus ignoble. Nous en sommes au point où ces vieilles biques considèrent que se faire sauter par des nègres clandestins est l’acte fondateur des droits de l’homme.
C’est peut être vrai, quand on y pense.
Ils estiment que le conseil départemental ne traite pas dignement ces jeunes mineurs isolés étrangers. « Je vous donne un exemple : quand ils arrivent, une commission évalue leur âge, etc. Mais avant qu’ils obtiennent leur rendez-vous, ils sont laissés à la rue ! », s’indigne Nicole Fautrel, de la LDH. Le Département, lui, estime assumer ses responsabilités pour les mineurs non accompagnés (MNA), entre nourriture, logement, accompagnement éducatif et social. Concrètement, il a inscrit pour eux 30 M€ à son budget 2018 et autant en 2019, contre 11 M€ en 2015.
Pour ces vieilles putes, ce ne sera jamais assez.
Trente millions, cent millions, peu importe. Elles exigent que le flot de négros s’accroisse toujours plus pour assouvir leurs pulsions sexuelles immigrophiles.
Tous ces prolétaires qui paient des taxes sont condamnés à crouler sous l’esclavage fiscal tant que ces vagins desséchés seront les relais médiatique de la politique cosmopolite juive.