Mélenchon appelle l’extrême-gauche à former des milices pour écraser toute opposition

La rédaction
Démocratie Participative
15 novembre 2022

 

Mélenchon vit dans une réalité parallèle où les braves gens ne peuvent plus faire un pas dans la rue sans que des miliciens d’extrême-droite ne les agressent.

À Lille ou Lyon, dit-il, les Français vivent dans la terreur permanente de la menace fasciste. Des dizaines de milliers de jeunes Blancs armés et violents qui se croient dans leur pays attaquent à l’aveugle les honnêtes citoyens pour un mauvais regard, ou une cigarette.

Il appelle l’extrême-gauche à « se préparer ».

Il était ce weekend avec l’antifa Raphaël Arnault, une simili gonzesse hystérique, objectivement mythomane et visiblement un usager régulier de produits stupéfiants.

Les fils de profs socialistes se préparent.

Vous devriez survivre, ceci dit.

Les seuls groupes violents véritablement tolérés en France sont les Antifas. Ils existent depuis environ 30 ans dans leur format actuel et ont mené un nombre considérable d’attaques armées contre tous ceux qu’ils désignent comme des ennemis politiques.

Ils sont protégés par le ministère de l’Intérieur. Les renseignements se servent régulièrement d’eux pour contrer toute réaction populaire qui conteste la politique fondamentale du régime, tout particulièrement sur l’immigration de remplacement.

Si on ne compte plus les organisations identitaires qui ont été dissoutes par le régime, rien de tel n’affecte l’extrême-gauche.

D’ailleurs, le seul groupe antifa qui a jamais été visé par une mesure de dissolution en trente ans est « Nantes Révoltée », une nébuleuse d’extrême-gauche ultra violente protégée par la municipalité écolo-socialiste de Johanna Rolland.

C’était en janvier 2022, à l’initiative de Darmanin.

C’est très simple à comprendre.

Vous prenez la vulgate d’extrême-gauche – « les fascistes sont le bras armé du capital » – et vous l’inversez.

Voilà, vous avez une définition de la réalité.

Les anarcho-marxistes constituent le bras armé du capital.

Ils servent à démanteler toutes les structures collectives nationales dont le capitalisme organisé veut se débarrasser pour mettre en oeuvre son programme éternel : libre circulation des biens, des capitaux et des « personnes » (les larbins du tiers-monde).

En pratique, vos usines s’en vont dans le tiers-monde et le tiers-monde vient chez vous « consommer ».

En ce moment, ce processus tourne à fond.

La destruction du système énergétique européen, dont l’Ukraine est le pivot entre les mains de Davos, est lancée.

Des groupes d’agitateurs écolo-gauchistes sont utilisés par le pouvoir pour créer une fausse « pression populaire » à laquelle il dit devoir céder.

L’intimidation contre toute résistance populaire est encouragée et amplifiée par les grands médias et les écolo-gauchistes.

La gauche radicale joue le rôle des maximalistes de Davos.

Vous mangerez des insectes et vous aimerez le goulag.

Cette mise en scène fonctionne sur le principe dialectique, action-réaction-synthèse.

En réalité, il n’y a aucune demande populaire pour ce programme néo-communiste, c’est une création médiatique intégrale scénarisée par le système.

Tous ces agitateurs, antifas ou écolo-gauchistes, sont recrutés au sein de la petite-bourgeoisie urbaine. Vous ne trouverez pratiquement jamais « d’extrême-gauche » en dehors d’une grande ville noyée de fric. C’est un phénomène exclusivement urbain.

Quand le peuple tente de s’organiser contre le programme sans-frontiériste du globalisme, ou quand la classe moyenne résiste aux attaques contre la petite propriété que mène la grande bourgeoisie globale, celle-ci mobilise sa clientèle petite-bourgeoisie – les fonctionnaires des périphéries urbaines – pour tenir en respect le prolétariat attaché à sa voiture et à son pavillon.

Cette gauche radicale n’est que l’aile militante du capitalisme occidental contemporain.

L’affaire Fournas l’a pleinement démontré.

La finance juive et le MEDEF exigent des migrants, la gauche radicale assure que ce soit le cas en semant la terreur politique.

Le globalisme est facile à comprendre. C’est le collectivisme pour la plèbe, le libéralisme intégral pour une poignée de multinationales et de banques.  Au milieu, les états socialo-communistes occidentaux et leur couche bureaucratique payée pour surveiller la plèbe productive.

C’est cette strate bureaucratique qui sécrète les cadres de la gauche radicale : profs, associations subventionnées, journalistes d’état.

Les systèmes marxistes sont en pratique des oligarchies autoritaires où seul le haut de la chaîne alimentaire a le droit de propriété.

Les marxistes prétendent que le fascisme est la forme radicale du capitalisme.

C’est par ce slogan que ces parasites associés aux financiers juifs justifient leurs attaques contre les producteurs sédentaires.

Là aussi, il suffit d’inverser ce poncif marxiste pour obtenir une description fidèle de la réalité.

Le marxisme n’est pas le contraire de la démocratie, mais son évolution en temps de crise.

C’est ce à quoi travaille Davos et c’est exactement ce que les marxistes font en ce moment en se portant au secours de la démocratie financière.

L’utopie marxiste n’ayant plus aucune force d’entraînement dans les masses, c’est désormais au nom de la gestion du rationnement climatique que la collectivisation est imposée verticalement par l’oligarchie.

Les idiots utiles du marxisme marchent dans la combine contre la promesse d’être embauchés comme commissaires politiques.

Préparez-vous, vous aussi.

Le système est voué à l’effondrement, comme le bloc communiste en 1991, mais il ne concèdera pas la défaite de manière ordonnée comme l’URSS l’a fait.

Ce système sémitique international s’organise en vue de la troisième et dernière guerre mondiale pour tenter le tout pour le tout. D’ici 2040, quelques milliards de personnes auront été englouties dans cet assaut final de l’Occident judéo-trotskiste contre l’humanité.

Si vous avez des doutes, regardez comment le système a détruit unilatéralement le système énergétique européen en rompant les livraisons de gaz et de pétrole russes.

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