Wolf
Démocratie Participative
07 octobre 2017
Jean-Luc Mélenchon s’en est pris à Manuel Valls, l’accusant d’être le larbin des juifs.
«Un accord d’origine inconnue a décidé de confier la présidence de [la mission parlementaire sur la Nouvelle-Calédonie] à monsieur Manuel Valls [député apparenté La République en marche]. On ne saurait faire choix plus inapproprié. Monsieur Valls est un personnage extrêmement clivant, qui suscite de forts rejets du fait de sa proximité avec les thèses ethnicistes de l’extrême droite», écrit Jean-Luc Mélenchon, dans une lettre au président de l’Assemblée, François de Rugy, dont l’AFP a eu copie le 6 octobre. Dans celle-ci, l’homme politique de gauche annonce sa démission de la mission parlementaire en question.
Il rappelle en outre les propos de Manuel Valls sur les fameux «white» et «blancos», saisis par une caméra en 2009, et pointe une «proximité» de l’ex-Premier ministre «avec les dirigeants de l’extrême droite israélienne».
Valls a été le chef de gouvernement le plus ouvertement hostile aux saines forces de la résistance identitaire, se livrant à une répression inédite alors qu’il expliquait, dans le même temps, que le djihadisme était le fait de « l’apartheid » des nègres et crouilles en France.
Et nous serions priés de croire que cet histrion catalan reprendrait les « thèses de l’extrême-droite ethniciste ».
Mélenchon est cependant allé plus loin, en affirmant que Valls est aussi à la solde des juifs. Ce qui n’a déclenché la rage de l’intéressé.
2) Que vient faire Israël dans ce débat ? Quel lien avec l’islamisme radical ? Là encore, des raccourcis et allusions évidentes et délétères
— Manuel Valls (@manuelvalls) 6 octobre 2017
Je ne vois pas du tout de quoi il s’agit.