McCain MORT ! Le chien enragé des juifs est finalement crevé !

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 août 2018

Le chien enragé des juifs, John McCain, est finalement mort, le cerveau rongé par un cancer divin envoyé par Némésis, la déesse de la rétribution divine.

Le Monde :

Le sénateur républicain de l’Arizona John McCain et ancien candidat à l’élection présidentielle américaine de 2008 est mort le 25 août dans l’Arizona à 16 h 28 heure locale.

Le sénateur, qui était atteint d’un cancer au cerveau, avait décidé de mettre fin à son traitement, avait annoncé sa famille vendredi. John McCain était soigné dans son Etat de l’Arizona, où ses amis et collègues défilaient depuis des mois pour faire leurs adieux, conscients que la fin était proche.

En 2016, pendant la campagne présidentielle, il exprime ses critiques envers le candidat républicain Donald Trump. Il deviendra l’un des républicains les plus critiques du nouveau président. Il dénonce notamment en novembre 2016 les propos ambigüs de Trump sur le recours à la torture.

Son intervention empêche, en juillet 2017, l’abrogation de l’Obamacare, la réforme du système de santé américain voulue par Obama.

Sur le plan personnel, la santé de McCain se détériore et il est traité à partir de juillet 2017 pour un cancer au cerveau très agressif.

MOUAH HA HA !

MORT MORT MORT !

Cette bête sauvage était déterminée à déclencher une troisième guerre mondiale contre la Russie pour le compte des juifs.

Quitte à recruter toute la vermine djihadiste de la terre pour abattre Bachar al-Assad.

Il voulait même une invasion de la Syrie après l’échec de la révolution judéo-djihadiste en Syrie.

Et bien, cela ne va pas se produire de son vivant.

Le châtiment divin attendait cette hyène diaboliquement occupée à faire mourir des dizaines de millions de personnes pour établir un empire juif mondial vénérant Moloch.

Quand ce sénateur n’était pas occupé à saboter la politique d’apaisement de Donald Trump ou à armer des enculeurs de chèvres, il se déchaînait en faveur de l’invasion de l’Amérique par tous les basanés de la terre afin de satisfaire ses maîtres juifs.

TVA :

Quand Donald Trump se présente aux primaires républicaines, en juin 2015, John McCain déclare que l’homme d’affaires excite «les tarés» avec son discours anti-immigration. La réponse de Donald Trump: John McCain est un «idiot».

Un jour de novembre 2016, peu après la victoire de Donald Trump, le sénateur de l’Arizona explose devant des journalistes qui, au Capitole, ne cessent de l’interroger sur telle ou telle déclaration du président élu: «Je ne veux plus qu’on me pose de questions sur Donald Trump. C’est mon droit de sénateur», dit-il d’un ton sans appel.

Son voeu fera long feu, tant le trumpisme monopolise les débats et bouleverse la tradition de politique étrangère américaine.

Mais c’est le refus persistant du nouveau dirigeant de reconnaître les ingérences russes dans la campagne qui scandalise le plus vieux sénateur.

Au fil des mois, McCain s’assombrit. Président de la commission des Forces armées, il ouvre sa propre enquête parlementaire sur la Russie. Et s’étrangle quand il entend les mots accommodants du président à l’égard de Vladimir Poutine.

«Ce n’est en rien « faire passer l’Amérique d’abord » que de faire confiance à un colonel du KGB plutôt qu’à l’ensemble des services de renseignement américains», lance-t-il.

Dans les derniers mois de sa vie, chaque dossier semblait l’occasion de défier le locataire de la Maison-Blanche.

Il est l’un des trois sénateurs de la majorité à torpiller, en juillet 2017, l’abrogation de la loi sur la santé de Barack Obama, provoquant la fureur de Donald Trump.

Le dirigeant est «mal informé» et «impulsif», accuse-t-il. Il dénonce, dans un discours préparé, le «nationalisme bancal et fallacieux conçu par des gens qui préfèrent trouver des boucs émissaires que de résoudre les problèmes».

Et quand la famille McCain a annoncé vendredi qu’il arrêtait tout traitement, le dirigeant n’avait pas non plus jugé utile de réagir, contrairement à l’ensemble de la classe politique américaine.

En effet, Trump était trop occupé à célébrer l’agonie de cette bête diabolique.

Servir les juifs n’aura pas offert la vie éternelle à McCain en dépit du contrat qu’il avait signé avec les fils de Satan.

Ce golem ne pourra plus nuire à l’Occident.

Avec McCain refroidi, l’opposition de l’état judéo-communiste US à la ligne politique populiste de Trump est considérablement désorganisée au sein du Parti Républicain.