La rédaction
Démocratie Participative
17 octobre 2022
Vous voyez une enfant, un blédard adepte de la magie noire vous un distributeur de billets
Le fin de l’affaire est connue : c’est la faute à pas de chance.
Quatre suspects se trouvaient encore en garde à vue ce dimanche soir dans l’affaire du meurtre d’une enfant de 12 ans retrouvée dans une malle à Paris. Dahbia B., une SDF de 24 ans dont la santé mentale pose question, pourrait être à l’origine des atrocités commises sur la collégienne. La piste d’un meurtre possiblement gratuit et insensé est privilégiée.
Les suspects (Dahbia B., Amine K., Friha B. et Rachid N.), tous nés en Algérie, pourraient être présentés ce lundi à un juge d’instruction en vue d’une mise en examen.
En tout cas pour Kamel, brièvement entendu, il est totalement inenvisageable que son colocataire Amine K. ait pu se prêter aux « actes de barbarie » commis sur la victime. « Nous sommes du même village en Algérie. Je l’ai accueilli chez moi parce que cela fait près de 20 ans que je suis en France. Il ne pose pas de problèmes. Il bricole à droite à gauche. Il est sans papiers ».
On comprend assez vite que son copain est plutôt désœuvré. « Il ne va jamais à Paris, insiste Kamel. Il passe son temps entre mon appartement et les Quatre-Routes (un carrefour entre Asnières et Bois-Colombes) où il boit dans la rue avec d’autres personnes ».
« C’est insensé » sera la version officielle, 100% vivre ensemble.
La version raciale : sacrifice humain par des adeptes de la magie noire maghrébine.
Ces blédards clandestins voulaient du fric. L’un d’entre eux familier de ses pratiques a suggéré de sacrifier Lola dans l’espoir de trouver une valise de billets. D’où les inscriptions sur le corps de la victime.
Les kouffars de France ignorent un fait : les islamistes nord-africains pratiquent tous la magie noire, tout particulièrement les femmes intégralement voilées.
Quoique officiellement proscrite en islam, sa pratique est largement répandue dans les milieux islamiques radicaux, mais pas exclusivement. Le bastion djihadiste de Molenbeek, en Belgique, est truffé de groupes musulmans qui se livrent secrètement au culte des démons, ce que les flics ignorent.
Le rabza de base est tout aussi sensible à ces usages sombres.
N’oubliez pas que lorsque vous regardez un Maghrébin, 13 siècles de consanguinité vous contemplent. Si vous ajoutez à ça les infâmes traditions blédardes et le salafisme pour paumés à 75 de QI, vous avez un cocktail extrêmement instable qui peut exploser à tout instant.
Même l’épicier maghrébin le plus placide peut devenir une bête sauvage en moins de dix secondes si son cerveau a un court-circuit.
Ne tournez jamais le dos à un Maghrébin. Un dos d’Aryen tourné enflamme la cervelle d’un Maghrébin comme une cigarette une pinède au mois d’août. Il veut le planter et il est incapable de dire pourquoi.
Tout Maghrébin a été formé à l’égorgement dès son plus jeune âge grâce à l’exécution rituelle du mouton. Cette vision accompagne le Maghrébin toute sa vie, et plus d’un fier blédard ressent le besoin de faire couler le sang à l’arme blanche.
Ne cherchez pas à comprendre l’homo algericus, tenez-vous à distance, c’est tout. Vous vous tenez à distance des requins sans réfléchir ou demander d’explications, faites pareil avec lui.
Le mot de la fin à Mathieu Kassovitz.
▶Sur les #violences
🗣Mathieu #Kassovitz
« J’ai l’impression d’être en 1990 (…) Tout ce dont vous parlez, ce sont des faits divers (…) Ça a toujours existé »📺Explications dans #LaGrandeConfrontation @DavidPujadas pic.twitter.com/EWiW8cxTE5
— LCI (@LCI) May 10, 2021