Captain Harlock
Démocratie Participative
08 Février 2021
Des nouvelles fraîches de la ville islamique de Marseille sous contrôle d’Al Qaeda.
L’avenue des Aygalades à Marseille (15e) s’appelle officiellement avenue Ibrahim-Ali. Le conseil municipal vient en effet d’adopter cette mesure grâce aux votes de la majorité et des élus d’opposition LR. La précédente majorité avait pourtant rejeté cette demande déjà formulée par Samia Ghali.
La sénatrice des quartiers Nord a d’ailleurs rendu un hommage appuyé au jeune homme de 17 ans tué d’une balle dans le dos par un colleur d’affiches du FN le 21 février 1995. « Marseille, ce n’est pas le racisme. Ce n’est pas le rejet des différences. Ce n’est pas la peur de l’autre. Ibrahim Ali était un enfant de Marseille. C’était un artiste. Aujourd’hui, il pourrait être Soprano. Ibrahim Ali a eu sa vie fauchée sauvagement parce qu’il était noir », a-t-elle insisté.
Non, il s’est fait calibrer parce que ce rat comorien s’était mis en tête de lyncher des Français chez eux comme les bandes mahométanes en ont la coutume.
Pas de chance, ils sont tombés sur des hommes déterminés.
La Providence a fait le reste.
Les hommages se sont poursuivis, notamment de la part d’Hayat Atia, élue (LR) des 13e et 14e arrondissements, mais le ton est rapidement monté entre Bernard Marandat et le maire Benoît Payan. Alors que l’élu RN demandait à prendre la parole, le maire le lui a refusé. « À ce moment de l’histoire, votre humanité demande que vous gardiez le silence », lui a lancé Benoît Payan. « Nous ne sommes coupables de rien », a alors rugi Stéphane Ravier. De son côté, Bernard Marandat en a profité pour cibler Jean-Marc Coppola qu’il accuse, en tant que communiste, de soutenir « une idéologie qui a fait des millions de morts ».
Les échanges devenant de plus en plus tendus, Benoît Payan a fini par invectiver l’élu du RN : « Sortez, monsieur Marandat ! »
Le maire a finalement retrouvé son calme. « Naïvement, j’avais imaginé que les choses pourraient se passer différemment. Personne ne vous accuse de rien du tout, simplement gardez un peu de dignité pour en donner », a-t-il lâché avant de mettre au vote le rapport, rejetant l’amendement présenté par le groupe d’extrême droite sans même qu’il n’ait pu être soutenu. Pour Stéphane Ravier, celui-ci a commis « une faute ».
Une fois le vote terminé, les élus du Printemps marseillais et du groupe LR « Une volonté pour Marseille » se sont levés à l’unisson pour applaudir cette délibération.
Touchante scène que l’union entre marxistes et gaullistes en faveur de la submersion islamique.
Il y a là une constante historique qui mérite d’être soulignée.