La rédaction
Démocratie Participative
07 juin 2022
Voilà le genre d’informations qui vaut toutes les dissertations théoriques du monde.
Comme en Afrique du Sud, les fermiers blancs sont désormais la cible des bandes de pillards arabo-négroïdes.
💬 « Il a tapé fort »
Après avoir été victime d’une série d’actes malveillants, une agricultrice de Gignac-la-Nerthe raconte avoir été agressée physiquement pic.twitter.com/SLoUclfYuJ
— BFM Marseille Provence (@BFMMarseille) June 7, 2022
💬 « La nuit je ne dors que d’un œil »
Des agriculteurs de Gignac-la-Nerthe racontent les conséquences néfastes pour leur travail au quotidien des violences et des actes malveillants qu’ils subissent pic.twitter.com/FiARQMH9Ok
— BFM Marseille Provence (@BFMMarseille) June 7, 2022
Si vous vous demandez ce qui attend les Blancs en France d’ici quelques années, rien de plus simple :
La guerre raciale est là, depuis longtemps, mais chaque semaine elle est plus pressante. L’État ne bouge évidemment plus un doigt quand des Blancs sont ciblés par des hordes d’allogènes. Ses flics le disent ouvertement aux Français de sang assiégés qui continuent malgré tout de financer le régime à la sueur du front.
Après quatre siècles de progression du culte étatiste, les Français de souche ne peuvent plus rien penser en dehors de l’État. Ils attendent tout de lui, mais en obtiennent de moins en moins, la ruine aidant. Face à l’invasion, les fonctionnaires de police ou de gendarmerie ne veulent pas faire de zèle pour un salaire médiocre et le risque d’une « bavure » médiatisée par la gauche. Quand l’État ne réagit pas, le Français de souche reste le cul planté dans la glaise.
Le Français atomisé, isolé, ayant complètement intégré la haine de soi antiblanche que l’Éducation Nationale lui inculque depuis 1945, se refuse par principe à s’organiser racialement. Les veaux de souche attendent donc de cet état impotent et hostile qu’il les protège tandis qu’il arme leurs ennemis de race.
Mais ne regardons pas le verre à moitié vide : au moins, on ne parle pas allemand.
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