Capitaine Harlock
Démocratie Participative
24 mars 2018
Le mouvement Bastion Social progresse à bon rythme. Ce jour, le courageux mouvement national et social ouvre son local à Marseille, ville martyre de l’invasion islamique. Cela se passe au 45 rue Fort-Notre-Dame, dans le 1er arrondissement.
La vérole rouge veut semer le chaos et la violence face à cette héroïque implantation.
Le Bastion social est déjà présent à Lyon, Chambéry, Strasbourg et Aix-en-Provence. Le groupuscule affirme vouloir offrir une aide sociale aux plus démunis, mais ouverte aux seuls Français.
Le préfet de police des Bouches-du-Rhône a interdit par arrêté les rassemblements sur la voie publique dans une zone située au-dessus du Vieux-Port, autour du local en question, situé rue Fort-Notre-Dame. Il évoque « un risque très important de confrontation violente » entre les membres du groupuscule et les organisations de gauche et d’extrême-gauche. Ce mardi, un collectif d’associations (Ligue des Droits de l’Homme, Unef, ATTAC) et de syndicats (CGT et Sud notamment) opposés à ce mouvement ont lancé un appel à manifester.
L’habituelle procession des communiantes de la démocratie rouge.
L’inauguration est autorisée, de même que le rassemblement de protestation, mais à distance de la rue Fort-Notre-Dame. La préfecture de police craint que des militants CGT ou des Jeunesses Communistes ne viennent en découdre avec des membres du Bastion social. Le local, avant même son ouverture, a déjà été la cible de dégradations, précise l’arrêté préfectoral.
« Les antifascistes, on ne viendra pas les chercher, mais si eux viennent nous attaquer, il faut qu’ils sachent qu’on se défend très bien », a déclaré Steven Bissuel, le dirigeant national du Bastion social.
Ces derniers mois, Marseille a déjà connu plusieurs débordements violents autour de rassemblements des royalistes de l’Action Française, dont une partie des militants a rejoint le Bastion social, et qui ont aussi déjà été mis en cause pour leurs méthodes violentes lors d’actions coup de poing.
Je ne pense pas que Bastion Social soit violent. Seuls les anarcho-communistes, laquais du système juif, sont violents. Et leur violence est pilotée par le gouvernement.
La presse juive est loin d’être enchantée par la progression du mouvement.
Un mouvement qui « ose venir en aide aux Français en France ». C’est en ces termes que le sénateur-maire Front national de Marseille, Stéphane Ravier, qualifiait le « Bastion social » au mois de janvier, à l’occasion d’un tweet de soutien après que la mairie de Strasbourg a tenté de faire fermer « L’Arcadia », le repaire de ce groupuscule d’extrême droite radicale.
L’élu marseillais peut se réjouir. Le mouvement présidé par Steven Bissuel et bâti sur les fondations du GUD, l’ex-syndicat étudiant de l’ultra-droite, s’installe officiellement dans la cité phocéenne ce samedi 24 mars. Il s’agira du cinquième local que cette formation nationaliste arrive à implanter dans l’Hexagone en moins d’un an d’existence, après Lyon, Chambéry, Strasbourg et Aix-en-Provence.
Cette implantation marseillaise n’est pas sans créer quelques remous. Dénonçant un mouvement « néo-fasciste », un collectif rassemblant 29 associations (Ligue des Droits de l’Homme, Unef, ATTAC…) et des syndicats (CGT et Sud) avaient annoncé mardi 20 mars une manifestation de protestation. Jeudi 22 mars, la préfecture de police des Bouches-du-Rhône a finalement pris un arrêté interdisant les rassemblements dans la zone où doit être inauguré samedi en fin d’après-midi le QG marseillais du « BS », entre le Vieux-Port et la Bonne-Mère.
C’est positif que Ravier soutienne publiquement le BS. Cela nous change de ce à quoi nous a habitué l’actuelle direction frontiste (ex-frontiste).
Croire que nous pourrons changer quoique ce soit en déposant un bulletin dans une urne une fois tous les deux ans, sans rien entreprendre parallèlement, est une dangereuse illusion. Bastion Social tombe vraiment à point nommé.
L’approche est excellente, l’état d’esprit aussi.
Bref, à mon sens, s’il faut rejoindre une organisation, c’est Bastion Social. Du moins, là où elle est présente.
La France a désespérément besoin des fascistes et il nous faut une organisation marquée par la détermination.
Pour nous, à Démocratie Participative, Bastion Social est une divine surprise et nous soutenons à fond.
Rendez-vous sur leur site : https://bastionsocial.fr/