Captain Harlock
Démocratie Participative
13 octobre 2020
75 ans après la Seconde Guerre Mondiale, Facebook, un des plus grands réseaux sociaux du monde, a décidé d’interdire tout questionnement au sujet de l’étrange théorie désignée sous le terme hébreu de « shoah ».
Apparemment, plus nous avançons dans le temps, moins les discussions libres à propos de cette histoire sont tolérées.
Il lui aura donc fallu 16 ans. Facebook va désormais supprimer tous les contenus « niant ou déformant » l’Holocauste, un nouveau durcissement de ses règles de modération des contenus que des associations américaines réclamaient de longue date.
« Nous retirons depuis longtemps les messages d’apologie des crimes motivés par la haine de l’autre et des tueries de masse, y compris l’Holocauste. Mais avec la montée de l’antisémitisme, nous étendons notre règle pour interdire tout contenu qui nie ou déforme l’Holocauste aussi », a déclaré lundi Mark Zuckerberg, le patron du géant des réseaux sociaux, sur son profil. Les utilisateurs qui font des recherches sur l’Holocauste seront redirigés « vers des sources d’information qui font autorité », a-t-il précisé.
Dans l’absolu, il est normal qu’un réseau social juif comme l’est Facebook impose la stricte observance de ses croyances religieuses.
Dans la même veine, il n’est pas surprenant que les juifs, pour parler de sujets juifs, imposent des sources juives. Les sources qui « font autorité » qu’évoque Mark Zuckerberg.
Quand vous verrez le mot « Holocauste » apparaître dans Facebook, vous serez renvoyés vers les récits faisant autorité de douche à gaz et de dégustation de saucisses de juifs gazés.
Tout comme il existe des écoles rabbiniques, il existe des écoles juives d’étude de l’holocauste d’où sortent des rabbins spécialisés.
Comme par exemple le rav Raul Hilberg, auteur du livre de sciences-fiction « La destruction des juifs d’Europe », qui a été pulvérisé lors du procès d’Ernst Zündel au Canada en 1983. C’est lui qui, acculé par les révisionnistes présents à ce procès dont le Professeur Robert Faurisson, finit par expliquer à la barre du tribunal que les Nazis avaient gazé les juifs par télépathie, déclarant que l’absence de budget, de plans et d’ordres pour mener cet énorme projet génocidaire s’expliquait par « une incroyable rencontre des esprits » (« An incredible meeting of minds »). Cette synthèse de Robert Faurisson vous permettra de prendre la mesure des « sources juives » comme Hilberg qui « font autorité » et qui seront désormais disséminés partout sur Facebook pour maintenir le bétail goy dans l’ignorance et le convaincre de vénérer le juif pleurnicheur.
Aux Etats-Unis, révisionnisme et négationnisme ne sont pas prohibés et la jurisprudence tend à les placer sous la protection du premier amendement de la Constitution, qui garantit la liberté d’expression. « J’ai bataillé avec ce dilemme, entre soutenir la liberté d’expression et les dommages causés par le fait de minimiser ou de nier l’horreur de l’Holocauste », élabore le fondateur de la plateforme. Mais « ma propre réflexion a évolué en voyant les données qui montrent une hausse des violences antisémites ».
En effet, les juifs n’aiment pas la liberté d’expression et veillent à faire taire les goyim dans leurs pays.
Traditionnellement, les juifs font passer leurs intérêts raciaux avant ceux de la nation dans laquelle ils s’infiltrent. Ils assument d’ailleurs cette attitude.
Un communiqué de Facebook publié lundi cite une étude selon laquelle près d’un quart des Américains âgés de 18 à 39 ans croient que l’Holocauste est un « mythe », que « c’est exagéré » ou « ne sont pas sûrs ». Il rappelle que le réseau a déjà récemment banni les stéréotypes antisémites sur le pouvoir des juifs, qui figurent souvent dans des théories complotistes.
Un juif contrôlant l’un des plus grands réseaux social du monde qui ordonne de censurer tout ce qui déplaît aux juifs sur ce réseau n’a aucun rapport avec « le stéréotype antisémite sur le pouvoir des juifs qui figure souvent dans des théories complotistes ».
Genre, vraiment aucun rapport.
A l’été 2018, Mark Zuckerberg, qui est lui-même juif, avait expliqué qu’il ne voulait pas supprimer les messages négationnistes de Facebook. En juillet dernier, un porte-parole de Facebook indiquait encore que le réseau social ne retirait pas du contenu « uniquement parce qu’il est faux ». Des survivants du génocide demandaient pourtant au patron du groupe californien de retirer les contenus négationnistes.
L’organisation américaine de lutte contre l’antisémitisme Anti Defamation League (ADL) venait de donner plusieurs exemples de groupes privés sur Facebook au sein desquels des usagers mettaient ouvertement en doute l’existence de l’Holocauste ou son étendue.
Cette mesure de Facebook « a mis des années à prendre forme », a réagi sur Twitter Jonathan Greenblatt, président de l’ADL. « Ayant personnellement oeuvré auprès de Facebook sur ce sujet, je peux attester qu’interdire la négation de l’Holocauste, c’est majeur (…). Heureux que ce soit enfin arrivé ». Son ONG, associée à d’autres organisations de la société civile, a mené cet été un boycott publicitaire suivi par des centaines d’entreprises contre le réseau social, pour le forcer à mieux surveiller les contenus dits « haineux ».
ONG est un terme pudique utilisé par l’AFP pour désigner cette organisation terroriste juive américaine qui utilise la théorie absurde de chambres à insecticide pour racketter les gouvernements du monde entier.
Si vous n’avez pas vu le documentaire « Defamation » à propos de cette organisation criminelle internationale, vous devriez le faire tout de suite.
En tout cas, le Kahal est heureux.
. @Facebook annonce l’interdiction sur sa plateforme de tout contenu négationniste et révisionniste. Pour toutes recherches sur la Shoah, les utilisateurs seront également renvoyés sur des contenus historiques en rapport.
Une avancée majeure pour la lutte contre la haine en ligne— CRIF (@Le_CRIF) October 12, 2020
En réalité, cela ne change rien car Facebook est devenu inutilisable. Il n’y a plus que des Boomers sur cette plateforme et la censure juive qui y règne a rendu obsolète ce réseau social depuis plusieurs années déjà. La plupart des gens que je connais qui y étaient il y a cinq ans n’y sont plus ou n’ont plus rien posté depuis 3 ou 4 ans.
Que voulez-vous, c’est ainsi. Partout où les juifs arrivent, ils rendent l’air irrespirable en très peu de temps. Si Facebook avait interdit les juifs plutôt que les goyim, ce réseau serait sûrement très intéressant. Mais bon, c’est un débat entre historiens à ce stade.