Marion Maréchal-Le Pen aurait songé à quitter la politique en raison des coups perfides de la pédale Philippot

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 avril 2017

Visiblement, Marion Maréchal Le Pen a hésité à se retirer de la politique.

Les Inrocks :

Dans son édition du 5 avril 2017, le Canard Enchainé assure Marion Maréchal-Le Pen “envisage de ne pas se représenter en juin” dans le le Vaucluse, où elle est pourtant l’élue de la 3e circonscription. Elle aurait même déjà pris plusieurs dispositions. La nièce de la présidente du Front national aurait même déjà averti ses plus proches collaborateurs. En coulisse, Hervé Lépinau, son actuel suppléant dans le Vaucluse, commencerait même à se préparer à la remplacer.

“Marion Maréchal-Le Pen souhaiterait également quitter la présidence du groupe FN au conseil régional de Paca, et même “abandonner son mandat de conseillère régionale”. L’élue frontiste a expliqué à son équipe qu’ “elle ne supporte plus le pouvoir sans partage de Florian Philippot”, les critiques de Marine-Le Pen lorsqu’elle publie une tribune, ou encore le fait qu’elle soit interdite de plateaux télés.

D’après les informations de l’hebdomadaire, elle aurait même rencontré un chasseur de tête et se rendrait à des entretiens d’embauche. “Tu ne vas quand même pas aller travailler chez Carglass !” lui aurait alors rétorqué Philippe de Villiers en tentant de la dissuader de se retirer. Marion Maréchal-Le Pen attendra le 7 mai prochain pour prendre une décision.

Elle était prête à abandonner tous ses mandats mais apparemment se serait finalement décidée à continuer.

RTL :

Malgré les dissensions au sein du Front national, Marion Maréchal-Le Pen devrait bien être une candidate du Front national aux élections législatives de juin prochain. « Ah oui », assure Gilbert Collard, son homologue du Gard, au micro de RTL. « Je sais qu’à un moment donné elle était dans l’hésitation, mais maintenant elle est déterminée je crois ».

Avant d’évoquer le fond de cette affaire, je réitère un point qui devrait être une règle : pas de femmes en politique, jamais.

Car le fond de l’affaire, c’est d’abord et avant tout la jalousie maladive de Marine Le Pen qui, approchant de la cinquantaine, est parfaitement consciente que l’intérêt implicitement sexuel des masses masculines pour sa nièce constitue une menace pour son hégémonie.

Les hommes sous-estiment gravement à quel point les femmes sont animées par la haine et la jalousie les unes envers les autres. Ce à quoi il faut ajouter la dimension hystérique. La seule chose qui parvienne à empêcher les femmes de s’arracher les cheveux en public est la présence des hommes. C’est absolument tout.

Et puis il y a Philippot. Philippot est homosexuel. Là encore, les gens se méprennent sur le danger mortel que représentent les pédales en politique. Elles s’associent d’instinct et intriguent bien plus efficacement que la loge la plus subversive du Grand Orient. Les fiottes ne sont pas liées par une philosophie ou des idéaux, mais par une pratique sexuelle perverse qui, de fait, sert de ciment à leur coterie.

Statistiquement très minoritaires, les pédales forment une minorité qui réagit exactement comme les minorités raciales agressives et prédatrices. C’est exactement pour cela que vous les voyez se coaliser avec les maçons, les organisations juives ou antiracistes diverses et broder sur l’antifascisme.

Si Marine Le Pen s’appuie particulièrement sur Philippot, c’est parce qu’il a un comportement d’eunuque. C’est un mâle beta par définition. Or Marine Le Pen ne redoute que les mâles alphas, c’est-à-dire ceux dont elle occupe la place naturelle. Un pédé est « rassurant » pour une femme. Faites le test autour de vous, demandez à des femmes ce qu’elles pensent des pédales. Vous verrez, c’est le même discours que sur les bamboulas.

Marion Maréchal Le Pen, très probablement, n’a aucune différence politique ou idéologique avec sa tante : les femmes n’ont pas d’idéologie. Dans le meilleur cas, elles ont une forme de sens pratique qui découle de la maternité. Et c’est déjà rare.

Le fond de ces tensions, c’est la transformation du Front National en lavoir, conséquence de sa féminisation et pédalisation progressive.

C’est ce qui arrive quand les hommes sont trop faibles pour exercer le pouvoir qui leur revient.

Maintenant, vous allez dire que c’est malheureux mais qu’il faut faire avec. Certes. Sur le court terme. Mais on ne peut pas éternellement hypothéquer nos buts à long terme pour des raisons de tactique pure.