Captain Harlock
Démocratie Participative
25 mai 2018
Marion Maréchal ex-Le Pen est apparue avec une excuse pour justifier ses méthodes d’allumeuse quant à son changement de nom.
C’est exactement ce que vous récoltez quand les hommes, abandonnant leurs obligations, laissent des greluches divorcées essayer de remplir leur rôle : des allumeuses mythomanes prêtes à tout pour attirer l’attention.
« J’ai décidé d’ouvrir une école de droite pour faire de la métapolitique »
En résumé : « C’était pratique de s’appeler Le Pen à un instant T parce que du coup les gens me regardaient, maintenant non parce que je veux que plus de gens me regardent ».
C’est tout ce qu’il faut retenir d’une femme en politique.
En fait, c’est une version honteuse d’Aurore Bergé.
MMexLP est clairement pire que sa tante parce que ses mensonges l’impliquent à titre personnel. Sa tante, bien que parfaitement immorale et prête à presque tous les reniements, n’a pas été aussi loin que d’abandonner son nom.
La Star Académisation pure et dure du politique survient donc par la « droite » catho-hébraïque. Un genre de croisement entre YouPorn et la Manif Pour Tous.
Pour réussir à percer, elle a pris le nom de son grand-père volontairement. Pour continuer, elle l’enlève, volontairement. L’excuse : c’est au nom de sa haute conception de la moralité qu’elle change de nom comme de mec.
Qui pourrait faire confiance à une femme en politique ? A plus forte raison quand elle se livre à de tels retournements aussi personnels qu’un abandon de patronyme pour des raisons de business ?
Son « retour en politique » se base donc sur deux mensonges. Le premier, sur son nom, le second sur le fait qu’elle affirme que son retour en politique est un « abandon » de la politique pour son espèce d’école.
Franchement, pour le même prix, qu’elle se limite à se montrer en string. Ce sera plus réglo.
Au reste, je n’ose même pas imaginer le nombre d’hébreux qui doit coasser dans l’ombre à la faveur de dîners « secrets » avec cette greluche.
Nous allons récolter une droite judéo-nègre inspirée par Elisabeth Lévy et Goldnadel avec pour hameçon une blonde divorcée jouant à la troisième Jeanne d’Arc républicaine. Objectif : intimider les moukères voilées de Macron un peu trop anti-israéliennes.
Et je vous le donne dans le mille : les miséreux vont forcément voter pour une gonzesse qui montre de toutes les façons possibles qu’elle est disponible sexuellement plutôt que pour un camp qui normalise le fait que les femmes ne soient pas disponibles sexuellement.
Ouai.
Merci les juifs.