Captain Harlock
Démocratie Participative
01 novembre 2018
La descente aux Enfers continue, inexorablement.
Elle est libre, mais toujours en danger de mort. La chrétienne pakistanaise Asia Bibi, en prison depuis 10 ans et condamnée à mort pour blasphème en 2010 a été acquittée par la Cour suprême du Pakistan ce mercredi 31 octobre. Si cette décision a provoqué un élan de liesse chez ses défenseurs à travers le monde, elle a également déclenché la fureur des islamistes, descendus dans la rue au Pakistan pour réclamer sa mort.
Face aux dangers qu’encourent la jeune femme et sa famille, certains appellent à lui accorder l’asile en Europe ou bien au Canada. En France, Marine Le Pen a évoqué cette possibilité sur Twitter.
La très dévote Marine Le Pen, qui, comme c’est de notoriété publique, passe plus de temps à l’église qu’à présider son parti, est soucieuse du sort des protestants marrons.
Il faut lui accorder l’asile, à elle et à sa famille. MLP#AsiaBibi https://t.co/yTMTzGwrtk
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 31 octobre 2018
Cette demande fait notamment suite à un tweet de SOS Chrétiens d’Orient qui montre la haine et la fureur des intégristes appelant au meurtre de la chrétienne. « Pour les défenseurs de #AsiaBibi, tout commence maintenant. Sans protection, ils ne survivront pas un seul jour, car désormais n’importe quel fanatique peut les assassiner dans la rue », alerte l’association.
Il me semble que dans « Chrétiens d’Orient » il y a « Orient ».
Mais je suppose qu’il nous faut absolument tout le panel racial, religieux et linguistique de cette planète représenté dans le dernier village de Gaule.
C’est pour cela que les gens votent FN.
Devant les nombreuses manifestations d’opposition dans le pays, le Premier ministre pakistanais Imran Khan a appelé ce mercredi au calme et à respecter un verdict de la Cour suprême. « J’en appelle à vous, mon peuple, pour votre pays », a-t-il lancé lors d’une intervention télévisée solennelle. Ceux qui appellent à rejeter le verdict le font « pour leur propre intérêt politique » et « ne rendent pas service à l’islam », a-t-il dit.
Un ancien gouverneur du Pendjab, Salman Taseer, qui avait pris la défense d’Asia Bibi, avait été abattu en plein cœur d’Islamabad en 2011 par son propre garde du corps. L’assassin, Mumtaz Qadri, a été pendu début 2016.
Ces histoires de confrontation entre sectes religieuses marrons à 10,000 kilomètres de la Beauce sont visiblement devenues nos problèmes. En tout cas, à en croire le discours du parti « populiste » censé mettre un terme à la tiers-mondisation démographique de la France.
C’était déjà le cas sous l’influence des youpins du CRIF et des bougnoules de banlieues. C’est désormais le cas avec ce parti enjuivé, féministe et pédalisé avec ces histoires de « démocratie » et de « liberté religieuse ».
Depuis quand la liberté religieuse du Pakistan est seulement un sujet patriotique en France ?
Depuis que Jean-Marie Le Pen a collé une femme à la présidence.
Chahada démocratique
Cette Le Pen voulait une nouvelle fois attirer l’attention de la clique médiatique humanitaro-juive en se démarquant du portrait que cette dernière fait d’elle pour dire, « regardez, j’ai une chatte et des émotions ».
Cette horrible bonne femme est notre croix. Ce désastre peut durer des années entières, pris en otage par une traînée souffrant du syndrome de calimero.
« Juifs, acceptez-moi »
Mais évidemment, tout cela ne serait pas possible sans cette idée absurde que la France ou l’Europe ne sont pas des réalités biologiques mais des clubs philosophiques juifs que le dernier nègre peut rejoindre moyennant une chahada démocratique.
A force de tout miser sur l’opposition à l’islam, tout ce qui fait mine de poser problèmes à ces baiseurs de chèvres devient, par la magie médiatique juive, désirable ou de notre culture.
Tellement désirable qu’il faudrait importer tous les machins basanés de la terre qui s’opposent aux égorgeurs d’allah, du moins à ce qu’on en dit.
Car franchement, personne ne sait ce que ces gens se disent et se font réellement dans leur bled préhistorique.
Au surplus, tous ces évêques qui passent leur temps à nous coller des nègres et des musulmans dans les jambes sont les mêmes qui viennent nous demander d’accepter cette énième poupée marron bizarre au motif que ces gentils musulmans chez nous sont méchants chez eux.
Et tout cela à cause d’un livre qui serait identiquement lu à Paris comme à Islamabad, c’est-à-dire la Bible.
La Bible selon Marine Le Pen
Contrairement à Marine Le Pen et à tous les activistes sans-frontiéristes, qu’ils soient trotskistes, juifs ou démocrates-chrétiens, une Bible n’est pas un passeport ni une carte vitale ou un compte gratuit pour la CAF.
Je suis au regret d’éventer un secret : lire la Bible à Bambouland ne bouleversera pas l’ADN d’un nègre au point d’en faire un Bourguignon candidat au Prix Nobel de physique.
Si d’aventure vous le pensez, vous avez un sérieux problème avec la réalité la plus élémentaire.
Et puis, au point où nous en sommes, cette Asia Bibi est certainement plus en sécurité au Pakistan que dans n’importe quelle banlieue française salafisée.
Au sujet de la religion
Il est vraiment de temps de clarifier les choses à propos de la question religieuse.
Nous ne devons pas faire de ces questions d’églises l’axe d’un programme politique quelconque. Des gens peuvent agir politiquement en accord avec leur religion ou en raison de leur religion mais à la condition que cela les amène à poursuivre un bien objectif pour le peuple.
Nous devons être pratiques et pragmatiques. Le but est d’unir le plus grand nombre autour de buts matériels et politiques tangibles, objectivement bénéfiques pour les populations blanches autochtones.
Par exemple, sur l’avortement.
Il est évident qu’un nationaliste indifférent au plan religieux peut, pour des raisons morales ou démographiques, s’opposer à l’avortement à l’instar d’un Catholique.
Peu importe le comment tant que des gens s’unissent dans un but positif pour la communauté populaire. Si l’un le fait au nom de Jésus et l’autre au nom d’Adolf Hitler, le résultat concret est le même.
C’est pourquoi, ici, nous encourageons les gens à se tolérer pour parvenir à ce but.
Et nous encourageons les gens à se respecter malgré leur divergence sur la question religieuse.
Je crois que le sens commun est toujours étayé par la science et qu’en dernière analyse, la dégénérescence dystopique juive se condamne d’elle-même à court-terme en raison de son nihilisme fondamental.
Il est par exemple prouvé scientifiquement qu’une traînée qui couche avec 50 mecs avant ses 20 ans sera psychologiquement bousillée pour le reste de sa vie et infoutue de bâtir une famille stable.
Evoquer Jésus ne sera d’aucune utilité pour démontrer cette réalité biologique et comportementale face à des athées ou des agnostiques.
Pour se comprendre, il faut d’abord parler la même langue. Une langue qui échappe au subjectivisme. Comme les mathématiques.
Séparer de la synagogue et de l’état
En toute honnêteté, le mot « laïcité » me donne la nausée tant il est lié à cette république judéo-maçonnique et à l’athéisme obligatoire professé par tout le rabbinat républicain. Mais il renvoie à un concept beaucoup plus large : la distinction entre l’autorité et le pouvoir.
Soyons réalistes : il n’y a qu’une unanimité entre les populations blanches sur la question religieuse, c’est-à-dire sur ce qui fonde l’autorité, le bien du mal, c’est la Seconde Guerre Mondiale et la religion de l’holocauste.
Ce n’est plus la crucifixion du Christ.
Il ne viendrait plus à l’idée de personne de s’entretuer pour savoir si la présence réelle lors de l’Eucharistie est avérée ou non.
Non, en démocratie, seule la contestation des chambres à gaz – l’apostasie – ou le péché de racisme mental qui en découle peuvent amener à des troubles civils identiques à ceux des guerres de religion.
D’ailleurs, je tiens le Christ comme le plus grand ennemi des juifs, celui qui les a le plus courageusement combattu. Avec Adolf Hitler.
C’est dans ce contexte que Marine Le Pen veut nous imposer une pakistanaise qui croit en Jésus parce que les mahométans veulent la tuer pour avoir « blasphémé ».
Cela, seulement quelques jours après avoir copieusement dégueulé dans la presse hébraïque sur Bruno Gollnisch pour avoir loué le scepticisme de Robert Faurisson quant à la vérité révélée des chambres à gaz.
C’est tout cet illogisme sémitique qui détruit les états européens et s’il y a une croisade à mener, c’est contre cet obscurantisme judéo-démocratique qui est injecté en permanence dans les cervelles des Européens.
Bien objectif
Tout ce qui renforce le développement positif du peuple doit être encouragé et promu, tous les comportements nihilistes et destructeurs combattu.
C’est ce qui peut rapprocher les gens de bien, chrétiens ou agnostiques, dans notre lutte.
D’ailleurs, s’il suffisait de se dire catholiques pour converger vers le bien, les traditionnalistes ne seraient pas persécutés par ce pape bolchevique Bergoglio.
Le bien commun du peuple amène naturellement les membres de la communauté à fraterniser dans le combat.
La défense de la cellule familiale est nécessaire tout comme la restauration d’un patriarcat légal inflexible, préalables au redressement de la natalité blanche. Car il va sans dire que cette natalité est, pour le bien des pays blancs, une nécessité absolue.
Il existe un bien objectif que chacun peut saisir en usant de sa raison pour peu qu’elle soit ancrée dans la réalité et non sur des constructions abstraites subjectives.
Souvent, parmi nous, vous avez quelques Néo-païens et quelques Catholiques qui sont sur le point de s’entretuer pour avoir le dernier mot, sachant pourtant, dès le départ, qu’aucun des deux camps ne capitulera.
Un peuple et un état ne sont pas gouvernés de cette façon ou alors, c’est la guerre civile intra-raciale assurée.
Toute la question est donc celle de ce qui définit un peuple. La démocratie juive prétend créer un bétail dénué de qualités au nom d’une dystopie millénariste destructrice. Ceci, au prix de la destruction des nations par mélanisation, immigration et abâtardissement racial.
Les tenants de l’ordre naturel pensent rigoureusement l’inverse.
Le cosmopolitisme juif, qu’il se maquille en verbiage biblique, démocratique ou marxiste, est notre ennemi mortel et doit être radicalement combattu.
Le bruit hébraïque qu’émet l’alcoolo-tabagique Le Pen le démontre, hélas, une nouvelle fois.