Marine Le Pen purge l’aile droite du RN et appelle à son secours une juive philippotiste en vue de 2022

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 Juillet 2020

A peine ai-je terminé de rédiger un article à propos de la dernière insanité de l’alcoolo-tabagique [établir une tyrannie judéo-négroïde en France] qu’elle récidive avec un truc encore plus sidérant.

Marine Le Pen a lancé la purge de l’aile « droite » de son parti de gauche.

Gilbert Collard et Nicolas Bay sont pour ainsi dire quasi virés.

Le Figaro :

Au Rassemblement national, c’est en été que l’on fait son ménage printanier. Profitant de la trêve estivale, le parti de Marine Le Pen a procédé à un large remaniement de sa très stratégique instance : la commission nationale d’investiture. Le parti doit trouver d’ici à l’automne quelque 8 000 candidats pour les prochaines élections départementales, et mettre sur pied 18 listes pour les régionales. Le choix de chaque prétendant fait l’objet de longues discussions entre les membres de cette commission où sont pesées et représentés toutes les sensibilités politiques du mouvement.

Trois mois avant que cette délicate sélection ne commence, six membres, soit un quart de la haute instance, ont eu la surprise de découvrir dans un courriel, ce jeudi, que leurs noms ont été biffés de sa composition. L’eurodéputé Nicolas Bay, représentant de la droite du parti, a perdu sa place au cénacle – une première pour un membre du bureau exécutif. Proche de Stéphane Ravier, sénateur et candidat malheureux à la mairie de Marseille, Sandrine d’Angio n’aura plus son mot à dire sur les investitures dans les Bouches-du-Rhône.

Enfin, Gilbert Collard, le tonitruant avocat aujourd’hui eurodéputé, après avoir siégé sept ans à l’Assemblée nationale, s’est lui aussi vu éjecté de l’organe de décision. « Pour le peu de temps que j’y ai passé… », plaisante l’intéressé sans minorer, pour autant, le symbole de cette éviction. « Je vais démissionner du bureau national (la direction du parti, NDLR). La lettre part demain. Comme ça, ils n’auront pas à me virer», annonce-t-il au Figaro. « Je prends mes distances et retourne à mes premières amours. Je reste mariniste comme au premier jour. »

Des départs auxquels s’ajoutent ceux des conseillères régionales Sandrine Beaulieu (Bourgogne-Franche-Comté) et Mathilde Paris (Centre-Val-de-Loire), ainsi que de l’eurodéputée Hélène Laporte, compensés par l’arrivée de l’eurodéputée Mathilde Androuët, proche de Jordan Bardella et ancienne assistante de Florian Philippot. Malgré le creux de l’été, nombre de cadres du parti phosphorent sur ce qui apparaît comme une ferme reprise en main de l’appareil politique par Marine Le Pen. « Elle supprime les témoins des futurs assassinats des régionales », se persuade un responsable, qui s’attend à un large renouvellement des élus, au détriment de la ligne identitaire du parti. «Le premier critère a été l’absence aux commissions nationales, justifie au contraire une membre du bureau national . Certains ne venaient jamais !»

Le processus semble déjà enclenché. Antoine Mellies, réputé proche de l’ex-députée Marion Maréchal, se voit évincé de la tête de la fédération du Rhône. Frédéric Boccaletti, président du groupe RN au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, est écarté pour sa part de la liste des futurs candidats aux sénatoriales dans le Var. Quant à la promotion de Mathilde Androuët, accompagnée du retour au RN de Thomas Laval et Kelly Betesh, ex-membre des Patriotes, elle fait croire à un retour en grâce de l’entourage de Florian Philippot.

Cette juive stupide de Kelly Betesh récompensée pour avoir fait sécession avec le sodomite Philippot !

Le pur terroir auvergnat s’exprime.

Meuh.

Et dire qu’il y a un an, elle était encore une ardente partisane de Philippot.

Je résume donc la nouvelle orientation de Marine Le Pen : nettoyer son parti des derniers éléments droitiers attachés à l’identité nationale d’Israël comme Gilbert Collard ou Nicolas Bay pour les remplacer par des marxistes philippotistes attachés à la souveraineté d’Israël comme Betesh.

Les intérêts juifs sont préservés et c’est tout ce qui compte au plan de l’analyse dure.

Dans cette affaire, le but de Marine Le Pen n’a rien d’idéologique. Il est purement pratique et vise à survivre à l’inévitable débâcle de 2022 qui ne manquera pas d’entraîner de nombreux appels à sa démission, comme en 2017. Sauf que Marine Le Pen, infoutue de faire quoi que ce soit de ses dix doigts, n’a pas l’intention d’abandonner sa SARL à sa nièce, Marion la tradasse, sous prétexte que plus personne ne peut l’encadrer. Pour y parvenir, il faut limoger tous ceux qui pourraient alimenter un putsch en interne. C’est ce qui se produit. Collard était le principal agent d’influence de Marion Maréchal, elle-même agent d’influence pro-israélien.

Je suspecte l’alcoolo-tabagique de vouloir rappeler cette lope visqueuse de Philippot qui ne demande que ça. Nous serions repartis pour un terrifiant cycle de surenchère crypto-communiste sur fond d’appels encore plus brutaux à la mulâtrisation de la France en signe de défi à la Germanie.

Je me demande si elle va garder ce singe insolent de Tournevis qui se sucrait en 2017 à pas moins de 12,700 euros par mois aux frais des contribuables français.

Son fort, c’est les débats français à la télé française avec des Français.

Il part plutôt gagnant, vu qu’il a une gueule de blédard. Mais enfin, avec la reine-mère, on ne sait jamais. Les sautes d’humeur de la vieille sont imprévisibles et comme la veuve noire, elle dévore ses mignons au petit-déjeuner.

En tout cas, le génie politique de Marine Le Pen rayonne plus que jamais depuis son Olympe.

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