Marine Le Pen prend fait et cause pour la vaccination obligatoire voulue par l’oligarchie globaliste

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 septembre 2020

 

Nous avons des nouvelles de Marine Le Pen. Hélas.

Premièrement, la figure de proue théorique de l’extrême-droite est catégorique : dessiner une noire est blasphématoire.

Dans la France de 2020 submergée par des millions et des millions d’envahisseurs afro-musulmans, hostiles et vindicatifs, la présidente du parti censé s’opposer à l’invasion déclare, à une heure de grande écoute, qu’une agitatrice gabonaise proche des groupuscules antiblancs les plus virulents a « raison » de porter plainte pour un dessin paru dans un journal de centre-droit ayant froissé sa susceptibilité.

La politique du RN consiste non seulement à ne pas froisser les métèques qui hurlent chaque jour leur volonté de nous génocider sur la terre de nos ancêtres, mais encore à les soutenir moralement contre les autochtones quand ces derniers protestent mollement.

Marine Le Pen ne s’arrête pas là : si elle entend nous faire nous prosterner devant les allogènes, nous devrons le faire sous vaccination obligatoire. Grâce à l’OMS et Big Pharma.

J’ai du mal à décrire la répulsion que m’inspire cette épave.

J’en suis au point où des maghrébines de gauche comme Samia Ghali m’inspirent plus de confiance que cette horrible bonne femme.

Dans l’extrait ci-dessus, Ghali tient tête avec naturel à l’empoisonneur juif Deray et le fait en parlant de ses gosses. C’est un réflexe de méfiance naturelle qui traduit encore une forme de normalité dans cette ambiance crépusculaire de système de surveillance sanitaire générale. Méfiance dont Marine Le Pen est totalement dépourvue, s’identifiant complètement à ce que décrète le système.

Quand une algérienne est plus rationnelle que le leader de l’extrême-droite, vous pouvez vraiment commencer à vous inquiéter.

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