Captain Harlock
Démocratie Participative
29 mai 2018
La pocharde à la tête de l’ex-FN a cru utile de venir se prosterner au pied du nègre volant afin de rassurer tous ceux qui, en Afrique, doutait de sa sincère négrophilie.
Marine Le Pen a estimé aujourd’hui que le jeune Malien sans-papiers qui a sauvé samedi un enfantméritait d’obtenir la nationalité française tout en soulignant que les délinquants et les criminels étrangers, sans-papiers ou avec un titre de séjour, devaient être expulsés.
« Ce jeune homme a fait un acte héroïque et il mérite probablement la nationalité française. Mais parallèlement, tous ceux qui sont sur notre territoire, qui bénéficient d’un titre de séjour et qui commettent des crimes et des délits (…) devraient de fait se voir déchus de leur droit de rester et se voir expulsés dans leur pays » d’origine, a déclaré sur Radio Classique la présidente du FN. La dirigeante politique a aussi fustigé « une opération de communication de la part d’Emmanuel Macron » qui a reçu lundi à l’Elysée Mamoudou Gassama, lui proposant qu’il soit régularisé et « naturalisé français ».
« Blablabla, j’aime les nègres ».
Contrairement à l’effet rhétorique superficiellement recherché, ce ne sont pas les nègres clandestins dont Le Pen veut parler mais bien de tous ceux qu’elle voudrait régulariser.
Citer les clandestins criminels n’est, pour elle, qu’une façon de se dédouaner à peu de frais.
L’alcoolo-tabagique aime les nègres.
L’idée que l’on puisse même en virer doit la scandaliser.