La rédaction
Démocratie Participative
10 novembre 2023
Marine Le Pen se donne beaucoup de mal, mais malgré son annonce de consentir à s’humilier publiquement, dimanche, en rasant les murs en queue de cortège de la marche des juifs, le compte n’y est toujours pas.
Les juifs exigent que ces sales Français restent à leur place.
Samuel Lejoyeux, président de l’Union des étudiants juifs de France, demande au RN « de ne pas venir » à la marche contre l’antisémitisme pic.twitter.com/BW3UsKMxKe
— BFMTV (@BFMTV) November 10, 2023
C’est bien.
Il est important que Marine Le Pen se fasse cracher dessus aussi fréquemment que possible, tout spécialement par les juifs. Les shabbat goyim doivent comprendre ce que leur statut implique.
Cela lui rappelle que 20 ans à ramper servilement ne changeront rien au fait qu’elle s’appelle Le Pen et qu’à ce titre, selon la loi de la haine tribale, elle est éternellement coupable, comme tous ceux qui s’appellent Le Pen.
L’idée de « marcher » contre l’antisémitisme est en soi une idée qui ne peut être le fait que de juifs ou de fous. Si nous souffrons de quelque chose, c’est bien du sémitisme. Le spectacle politico-médiatique de ces 4 dernières semaines se suffit à lui-même à cet égard.
La seule marche qui a du sens, c’est une marche contre le sémitisme. Ce qui s’en rapproche le plus, ce sont les marches pour la Palestine libre, c’est-à-dire une Palestine sans juifs. Une Palestine judenfrei.
Hélas, elles sont interdites, pour la plupart.
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