Captain Harlock
Démocratie Participative
18 octobre 2019
L’alcoolo-tabagique n’a évidemment pas pu s’empêcher de vouloir briller en se démarquant de tout le monde à propos du voile djihadiste.
À la question de la journaliste: «Auriez-vous utilisé la même méthode?», la présidente du Rassemblement national a répondu: «Non». «J’ai trouvé cette interpellation rugueuse et certainement maladroite», a-t-elle expliqué. L’ancienne candidate à la présidentielle, qui a reconnu que «sur le fond, il a posé la bonne question», a estimé que «les enfants doivent être tenus à l’écart des querelles des hommes et c’est vrai aussi lorsqu’ils sont en sortie scolaire». Presqu’un recadrage donc…
Marine Le Pen a également dénoncé la réaction mercredi soir d’Emmanuel Macron qu’elle juge «très floue». «Il ne prend aucune décision. On ne sait pas précisément ce qu’il pense sur la laïcité, sur le communautarisme, sur ces sujets qu’il évoque sans qu’ils soient accompagnés d’actes forts de sa part. C’est inquiétant parce que cela met en cause notre sécurité et nos valeurs», a regretté la présidente du Rassemblement national.
Des « actes forts ».
De la part d’une rombière qui s’émeut abondamment dans les médias de la trop grande « maladresse » du militant gay Odoul à l’endroit d’une mahométane exhibitionniste, ce n’est pas piqué des hannetons.
Je suppose qu’elle aurait préféré un courrier en recommandé avec des cœurs, histoire de vraiment marquer le coup.
Et puis ce refrain sur les chiards du Califat.
Venez encore me parler des ovaires en politique, vous serez bien reçus.
C’est plus fort que cette barrique : elle ressent un besoin irrépressible de se faire aimer de ceux qui la haïssent en raison de son nom. Quitte à faire boire la tasse à ses sous-fifres.
Qui voudrait seulement être aux ordres d’une bonne femme aussi atroce ?
Et puis, gros scoop, la reine-mère est candidate en 2022.
Cette dernière a confirmé qu’elle pourrait être une nouvelle fois candidate à l’élection présidentielle en 2022. «J’y vais parce que je crois à ce que je dis, je crois aux convictions que je porte. Je pense que je suis une personne qui aura le courage de les mettre en œuvre», a-t-elle assuré. Marine Le Pen a cependant certifié que cela «n’exclut aucune autre possible candidature». «Mais moi, je suis à disposition de ceux qui souhaitent que ça change dans notre pays», a-t-elle prévenu. Quant à savoir si elle en a la volonté, la présidente du Rassemblement national répond, laconique: «En plus il faut en avoir envie? Je crois qu’on en a besoin surtout. Et à mon avis ça suffit très largement».
Je ne crois pas que quiconque ait besoin de cette femme affreuse avec ses « convictions » si trempées que même l’aile homosexuelle de son parti est trop radicale pour elle.