Captain Harlock
Démocratie Participative
23 mars 2019
Il est plus que temps pour l’homme noir de revendiquer la propriété de ce qui lui revient de droit : le Groënland.
Des enseignants se mobilisent afin d’offrir un voyage exceptionnel à une dizaine de collégiens des quartiers.
C’est un pari un peu fou, porté par un hyperactif du défi. Dans quelques mois, peut-être, une dizaine de jeunes de Mantes-la-Jolie fouleront les terres inhospitalières du Groenland. C’est en tout cas le pari d’Yvan Dromard, un enseignant du collège Chénier de Mantes-la-Jolie.
Ce professeur, épaulé par cinq de ses collègues, s’est mis en tête d’emmener une dizaine de collégiens en expédition aux frontières du pôle Nord.
Les profs gauchistes ont visiblement abandonné l’idée de voir les nègres un jour retenir l’alphabet.
Mais ils n’ont pas dit leur dernier mot : ils vont désormais les mener dans de complexes expéditions au pôle Nord.
Parce qu’évidemment, bien entendu.
Il reçoit ce vendredi l’explorateur Matthieu Tordeur, qui a notamment traversé le pôle Sud, et qui viendra parler aux élèves de ses aventures dans 90 pays de la planète. En avril, les mêmes devraient rencontrer l’aventurier Mike Horn.
« Depuis trois ans, j’anime un concours interne sur l’Antarctique. Chaque année, il y avait pour les gagnants, des places de cinéma à gagner. Cette année, je me suis mis à rêver, explique cet enseignant qui intervient dans plusieurs disciplines. Comme le pôle Sud c’était compliqué, j’ai regardé vers le nord et l’Arctique. J’aimerais que ces gamins, dont la plupart sont issus du Val-Fourré, puissent mettre une ligne “Groenland” sur leur CV. »
Résumons pour être bien sûrs d’être sûrs.
Matthieu Tordeur a un rêve : négrifier les coins les plus reculés de la planète
Ce prof de gauche s’est dit, « l’an dernier, Rachid et Mamadou ont gagné des places de cinéma. »
Et puis, il s’est « mis à rêver ». « Cette année, Rachid et Mamadou iront au pôle Nord ».
Voilà. C’est tout.
Inutile de préciser qu’aucun d’entre eux n’a visité le pays des Inuits. La plupart de ces enfants connaissent plutôt l’autre rive de la Méditerranée, de nombreux parents étant originaires du Maghreb. Mais cette fois, au lieu de regarder vers le sud, ils s’envoleraient vers le Grand nord pour un séjour d’une dizaine de jours, en juin ou en septembre. Au programme : reportages, photos, expéditions, randonnées…
Les règles du concours sont strictes et seulement 9 à 12 enfants – sur la soixantaine de participants – auront le privilège de s’envoler vers l’île froide, propriété du Danemark.
La France judéo-communiste n’aura de cesse de se mobiliser jusqu’à ce que le dernier kilomètre carré de cette terre ne soit aux mains des hordes marrons d’Afrique.
Dans son viseur cette fois, c’est Hyperborée.
Pour faire comprendre à la planète entière, nations blanches en tête, que le miracle arabo-négroïde est le nouvel évangile et qu’il s’étendra sur toute la surface de la terre.
Qu’ils le garde au chaud pic.twitter.com/U1pUtNHZRQ
— leon (@politique62000) 9 février 2019
Le projet France.
Une seule incertitude pourrait contrarier ce projet « qui se fera quoiqu’il arrive », selon Yvan Dromard : son financement. Estimé à 70 000 €, ce séjour fera l’objet de subventions publiques mais les enseignants se tournent aussi vers le mécénat privé. Certaines institutions comme la Banque de France ou le voyagiste Grand Nord Grand Large prévoient de contribuer au voyage. « Et si on obtient un peu plus que prévu, on pourrait embarquer un parent avec nous », rêve, encore et toujours, Yvan Dromard.
« On va envoyer la négraille d’Île-de-France au Groenland. Il y a un tout petit détail à régler : il faut que les Blancs passent à la caisse. »
70,000 euros pour semer des nègres et des bougnoules du Val Fourré sur la banquise pour qu’un prof ait eu l’impression de faire quelque chose.
Que voulez-vous que je vous dise ?
Cet république juive est totalement hors de contrôle.
La France est un immense défi juif aux lois de la nature. Il n’y a pas une limite qu’elle ne veuille repousser avec fanatisme pour souiller la planète de son obsession mélano-égalitariste.