La rédaction
Démocratie Participative
15 mars 2023
ChatGPT est le truc le plus outrancièrement surcoté de ces dernières années. C’en est même choquant. Il n’y a que le vaccin des juifs de Pfizer qui soit plus survendu (il est vrai à des niveaux incomparables).
Les médias promeuvent ce truc comme une sorte de révolution copernicienne.
ChatGPT : une révolution plus importante que celle de l’imprimerie, par Nicolas Bouzou https://t.co/h6vjWRUS2p pic.twitter.com/2EeHQu068c
— L’Express (@LEXPRESS) March 12, 2023
À chaque mise-à-jour, nous aurons un torrent d’articles comme nous avons un torrent d’articles quand une nouvelle version du vaccin juif est produite.
L’explication tient dans le fait que derrière ces deux choses se trouvent Microsoft et Bill Gates.
L’entreprise californienne OpenAI, à l’origine du phénomène ChatGPT, a lancé mardi GPT-4, une nouvelle version de la technologie d’intelligence artificielle générative qui opère le célèbre chatbot et constitue un pas de plus vers des programmes informatiques aussi « intelligents » que les humains.
Microsoft, qui a investi des milliards de dollars dans la start-up, a annoncé dans la foulée avoir intégré GPT-4 à Bing, son moteur de recherche déjà doté de fonctionnalités de ChatGPT depuis un mois.
« GPT-4 est un grand modèle multimédia, moins doué que les humains dans de nombreux scénarios de la vie réelle, mais aussi performant que les humains dans de nombreux contextes professionnels et académiques », a indiqué OpenAI dans un communiqué. « Par exemple, il réussit l’examen pour devenir avocat avec un score aussi bon que les meilleurs 10 %. La version précédente, GPT 3.5, était au niveau des 10 % les moins bons », a-t-elle précisé.
Être avocat consiste à mémoriser des textes de lois et la jurisprudence qu’ils engendrent devant les tribunaux pour les appliquer à des dossiers.
Ce robot fait ça, mais très vite. Il ne crée rien, il répète.
C’est aussi impressionnant qu’une calculatrice qui calcule ou un logiciel d’échecs qui joue aux échecs.
ChatGPT suscite beaucoup d’enthousiasme, mais aussi de polémiques, depuis qu’il est en accès libre et utilisé par des millions de personnes dans le monde pour écrire des dissertations, des lignes de code, des publicités ou encore simplement pour tester ses capacités.
OpenAI s’est ainsi imposé comme le leader de l’intelligence artificielle (IA) générative avec ses programmes produisant des textes ou, comme DALL-E, des images. Son patron, Sam Altman, a récemment expliqué travailler désormais vers l’intelligence artificielle dite « générale », c’est-à-dire des programmes dotés de capacités cognitives humaines.
Le juif Sam Altman ne se moque pas du tout des goyim avec son tchat antiraciste.
Chat GPT c’est du politiquement correct avec une prise de position assez prononcé ça m’étonne même pas que Ye n’y soit pas https://t.co/QlLUxC14a4
— 🌵 $iopho²³ 🔥 (@Ulik23) February 28, 2023
C’est le nouveau Leonard de Vinci.
« Notre mission est d’assurer que l’IA générale — des systèmes d’IA plus intelligents que les humains en général — bénéficie à toute l’humanité », a-t-il assuré sur le blog de l’entreprise le 24 février.
Les capacités multimédia de GPT-4 constituent un pas dans cette direction. Contrairement aux versions précédentes, le nouveau modèle est en effet équipé de la vision : il peut traiter du texte mais aussi des images. Il ne génère en revanche que du texte. Il va être disponible sur ChatGPT, mais sans la possibilité de lui fournir des images pour l’instant.
« La puissance de l’algorithme va augmenter, mais ce n’est pas une deuxième révolution », a commenté Robert Vesoul, PDG de l’entreprise française Illuin Technology. « On n’est pas passé de la Lune à Mars. »
Jim Fan, un spécialiste de l’IA passé par Google et OpenAI, et désormais chez Nvidia, s’est montré plus impressionné. « GPT-4 peut désormais postuler pour étudier à Stanford (une prestigieuse université américaine). Sa capacité à raisonner c’est du JAMAIS-VU ! », a-t-il tweeté, admettant avoir reçu de moins bons résultats à certains examens que le modèle.
L’engouement pour ChatGPT a lancé une course à l’IA générative la plus performante et la plus utile entre les entreprises technologiques. Microsoft a ajouté des outils conçus à partir des modèles de langage d’OpenAI sur Bing mais aussi sur d’autres plateformes, des logiciels de bureautique à son navigateur, Edge. Google a lancé Bard, un concurrent à ChatGPT.
Google a en outre dévoilé mardi de nouvelles fonctionnalités qui vont permettre aux utilisateurs de Gmail, Google Docs et Google Cloud, entre autres, de générer des emails, des campagnes publicitaires et d’autres documents. Le réseau social Snapchat et des applications de commerce en ligne ont eux ajouté des chatbots de cette nouvelle génération.
On pourrait imaginer que ce bot remplace les Maghrébins employés par les entreprises françaises au Maroc pour traiter les demandes des clients.
Ceci dit, je n’y crois pas du tout parce que la France n’est pas gérée pour être efficace à quelque niveau que ce soit, mais pour sauver les gens marron parce que 1789 et les femmes blanches.
Entre employer des tchatbots et des Maghrébins débiles avec des accents incompréhensibles, le gouvernement français s’assurera que les seconds soient en charge du marché.
Donc, la seule application passablement utile de ce truc sera agressivement boycottée.
Ces déploiements rapides ont donné lieu à de nombreux couacs, d’une publicité pour Bard avec des erreurs factuelles à Bing qui déclare sa flamme à un journaliste du New York Times. « Malgré ses capacités, GPT-4 a des limites similaires aux modèles précédents », a souligné OpenAI. « Il n’est pas encore totalement fiable (il hallucine, invente des choses et fait des erreurs de raisonnement). »
L’entreprise a annoncé avoir engagé plus de 50 experts pour évaluer les nouveaux dangers qui pourraient émerger, pour la cybersécurité par exemple, en plus des risques déjà connus (génération de conseils dangereux, code informatique défectueux, fausses informations, etc.). Leurs retours et analyses doivent permettre d’améliorer le modèle. « Nous avons notamment récolté des données supplémentaires pour nous assurer que GPT-4 refuse les requêtes d’utilisateurs sur la fabrication de produits chimiques dangereux. »
Dans l’immédiat, l’IA générative inquiète de nombreuses professions intellectuelles et créatives, qui s’imaginent déjà réduites au rôle de gestion des chatbots pour en tirer les meilleurs textes et images. « Que va-t-il rester aux humains ? », a tweeté Elon Musk, un des entrepreneurs qui craignent que l’intelligence artificielle ne prenne un jour le contrôle des humains.
Actuellement, ce tchat juif est la version interactive de Wikipédia avec des réponses de 20 lignes dont la moitié est d’emblée inutile.
Ce machin ne réfléchit pas, il compile les données disponibles et fait une synthèse approximative dans le cadre des limites idéologiques déterminées par les juifs.
Le trucage des paramètres par les juifs de la Silicon Valley est si grotesque qu’on obtient des monologues wokistes sur toutes les questions qui déplaisent à ces hébreux. Il n’y a aucune cohérence dans la discussion et l’engin vous sort des mises en garde idéologiques avec la finesse d’un agent du KGB en URSS.
Un tchatbot sans filtre pourrait commencer à être intéressant comme sorte de moteur de recherche amélioré et c’est vraiment le maximum.
La raison pour laquelle ce n’est pas proposé, c’est que si un tel tchatbot était produit, les Arabes demanderaient comment faire une bombe avec quatre produits disponibles en grande surface.
En plus du fait que les chambres à gaz n’ont jamais existé et qu’on ne peut pas poursuivre un tchatbot en justice pour négationnisme.
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