La rédaction
Démocratie Participative
15 novembre 2022
Avec Democratie Participative, vous pouvez voyager dans la galaxie internationale de la folie marxiste.
Aujourd’hui, nous allons en Espagne où l’affrontement entre gauchistes fémo-LGBT et marxistes-léninistes s’envenime.
Collègue @PanyRosasEE et membre @CRTorg attaqué par la FO pour avoir défendu nos posters contre les voyous. Unité de toutes les associations et des étudiants pour les virer de l’université ! Ni les menaces ni les agressions, elles ne passeront pas !
Compañera de @PanyRosasEE y @CRTorg agredida por el FO por defender nuestros carteles de los matones. Unidad de todas las asociaciones y estudiantes para echarlos de la universidad! Ni amenazas ni agresiones, no pasarán! pic.twitter.com/BIsopWpfyr
— Contracorriente Madrid (@Contrac_Mad) November 3, 2022
Le Fronte Obrero est une organisation bolchevique orthodoxe (stalinienne), qui lutte pour l’hégémonie à l’extrême-gauche.
Discours du 14 avril à Madrid. @frenteobreroesp. @pml_rc.
Staline et Enver Hoxha dans le centre de Madrid. Briser les schémas de la gauche du système. Plus le succès mérité dans le défilé traditionnel de mon parti, le PML (RC). Notre travail parle pour nous.
Speech on April 14 in Madrid. @frenteobreroesp. @pml_rc.
Stalin and Enver Hoxha in the center of Madrid. Breaking the schemes of the left of the system. More the deserved success in the traditional parade of my Party, the PML (RC). Our work speaks for us. pic.twitter.com/9rlNEpLVyv
— Roberto Vaquero (@RobertoVaquero_) April 18, 2021
C’est quand même mieux que le NPA.
Les bolcheviques attaquent de front les dégénérés adeptes de l’intersectionnalité de l’extrême-gauche.
L’analyse des bolcheviques espagnols du FO est que l’intersectionnalisme est une déviation opportuniste d’inspiration américaine qui accouche de la coopération de classes (interclassisme). L’intersectionnalisme prétend qu’un bourgeois pédé aurait les mêmes intérêts qu’un ouvrier pédé et que c’est la pratique de la sodomie qui a préséance sur le rapport de classes entre les deux. Idem des femmes, des groupes raciaux, etc..
Les bolcheviques ont évidemment pour doctrine la guerre de classes et la dictature du prolétariat, pas la coopération de classes, même pas au prétexte d’aimer les anus confits au SIDA. D’où les tensions entre les bolcheviques et les anarcho-gauchistes fémo-LGBT sur les campus espagnols.
Le plus drôle, c’est que les bolcheviques sont catalogués comme des fascistes et des réactionnaires par ces féministes et ces travelos.
🔴 Nous sommes déjà dans la manifestation à #Madrid contre les coupes que le gouvernement veut faire dans le #LeyTrans.
🌈 Contre la transphobie du gouvernement, nous serons organisés. Parce que le combat est dans la rue, pas dans les ministères !
Avec les camarades de @panyrosasmad
🔴 Ya estamos en la manifestación en #Madrid contra los recortes que el gobierno quiere hacer a la #LeyTrans
🌈 Contra la transfobia del gobierno, estaremos organizadas. Porque la lucha está en las calles, y no en los ministerios!
Con las compañeras de @panyrosasmad pic.twitter.com/rW6tvDkxah
— Contracorriente Madrid (@Contrac_Mad) November 12, 2022
La créature agressée dans la vidéo par les bolcheviques est racialement indescriptible, même si elle s’est probablement échappée d’Amazonie où ses ancêtres dévoraient leurs enfants pour faire pleuvoir.
Notre camarade Natalia, attaquée hier par un militant du Frente Obrero, nous raconte aujourd’hui ce qui s’est passé et comment les réactionnaires ont été expulsés du campus.
Nuestra compañera Natalia, agredida ayer por una militante del Frente Obrero cuenta hoy lo que pasó y cómo se expulsó a los reaccionarios del campus pic.twitter.com/2JNh9ksddw
— Contracorriente Madrid (@Contrac_Mad) November 4, 2022
Vous voyez l’ambiance.
De toute façon, bolcheviques ou pas, ces ennemis du peuple doivent être traités comme ils le méritent.
En Espagne, il n’y a qu’une personne qui dit quelque chose de pertinent et, ça me coûte de le dire, c’est une femme (!).
Isabel Peralta, la jeune pasionaria du fascisme.
Pour les hispanisants, son hommage aux 16 martyrs du national-socialisme morts lors du putsch du 9 novembre 1923 devant l’ambassade d’Allemagne.