Captain Harlock
Démocratie Participative
15 Décembre 2020
L’économie française est en voie d’effondrement complet, des arrestations et des internements d’opposants ont lieu un peu partout et les gens qui refusent de se faire injecter du poison dans les veines seront bientôt placés en résidence surveillée perpétuelle.
Il était donc temps pour Macron de parler de température de l’air pour les deux prochaines années.
BFMTV :
Emmanuel Macron a annoncé lundi qu’un référendum serait organisé pour intégrer la défense du climat et la préservation de l’environnement dans la Constitution si cette réforme était adoptée par le Parlement.
« Ce sera une réforme constitutionnelle en un article » qui « doit d’abord passer par l’Assemblée nationale puis le Sénat et être votée en des termes identiques. Ce jour-là, elle sera soumise à référendum », a déclaré le chef de l’Etat en conclusion d’une rencontre avec la Convention citoyenne pour le climat.
S’il se concrétisait, ce référendum sera le premier à se tenir en France depuis 2005, qui avait porté sur la Constitution européenne et vu la victoire du « non ».
Le recours au référendum pour « introduire les notions de biodiversité, d’environnement, de lutte contre le réchauffement climatique » dans l’article 1 de la Constitution est inclus dans les 149 propositions faites par les 150 membres de la Convention citoyenne pour le climat.
Emmanuel Macron avait indiqué le 14 juillet qu’il souhaitait inscrire « le plus vite possible » la lutte contre le réchauffement climatique dans la Constitution, qui serait « une avancée majeure ». Le chef de l’Etat a en revanche confirmé qu’il écartait la demande de réécrire le préambule de la Constitution pour « placer l’environnement au-dessus de nos autres valeurs fondamentales ».
Sous la Ve République, les référendums sont à l’initiative du président de la République sur proposition du gouvernement ou du Parlement.
Pour les questions d’intérêt national, la procédure est régie par deux articles de la Constitution: l’article 11 – pour adopter un projet de loi – et l’article 89 – pour réviser la Constitution. Cet article 89 exige que la proposition de révision soit d’abord votée « par les deux assemblées en termes identiques ».
Que vient faire la température de l’air dans un texte qui structure légalement l’Etat ? Macron veut la fixer légalement à 22 degrés en été et 10 degrés en hiver ?
Cela n’a aucun sens.
La seule explication qui tient la route c’est qu’il s’agit d’inscrire le communisme vert dans la constitution. L’agenda climatique est lié à l’agenda sanitaire et ces deux agendas servent à masquer le programme de soviétisation totale de l’Europe.
Une fois l’impératif du rationnement écolo-marxiste inscrit dans l’article 1 de la constitution, la France deviendra officiellement un état communiste disposant de tous les moyens légaux pour réorganiser le pays sur des bases collectivistes. Qu’il s’agisse d’interdire les véhicules particuliers ou bien de tracer la population, tout sera possible. En fait, tout est déjà pratiquement possible mais c’est un bon moyen pour noyer médiatiquement les gens pendant qu’ils agonisent économiquement.
Ce référendum, si jamais il a lieu, sera de toute façon truqué.
Nous sommes entrés dans une réalité parallèle et il n’y a aucune porte de sortie à l’horizon.